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Gaudé, Laurent
Publié en 2006
Livre
Fiction
Roman
L'origine de leur lignée condamne les Scorta à l'opprobre. A Montepuccio, leur petit village d'Italie du Sud, ils vivent pauvrement, et ne mourront pas riches. Mais ils ont fait voeu de se transmettre, de génération en génération, le peu que la vie leur laisserait en héritage. Et en dehors du modeste bureau de tabac familial, créé avec ce qu'ils appellent "l'argent de New York", leur richesse est aussi immatérielle qu'une expérience, un souvenir, une parcelle de sagesse, une étincelle de joie. Ou encore un secret. Comme celui que la vieille Carmela confie au curé de Montepuccio, par crainte que les mots ne viennent très vite à lui manquer. Roman solaire, profondément humaniste, le livre de Laurent Gaudé met en scène, de 1870 à nos jours, l'existence de cette famille des Pouilles à laquelle chaque génération, chaque individualité, tente d'apporter, au gré de son propre destin, la fierté d'être un Scorta, et la révélation du bonheur.
Romancier, nouvelliste et dramaturge né en 1972, Laurent Gaudé a reçu en 2004 le prix Goncourt pour son roman Le Soleil des Scorta. Son œuvre, traduite dans le monde entier, est publiée par Actes Sud.
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Langue : Français
Aslam, Nadeem
Publié en 2007
Livre
Fiction
Roman
Dans une ville anonyme du nord de l'Angleterre, Chanda et son amant, l'entomologiste Jugnu, ont disparu. De méchantes rumeurs agitent la communauté pakistanaise en butte à un enseignement de l'islam perverti, un code de l'honneur qui peut mener au meurtre, un racisme blanc qui n'a rien à envier à la cruauté et à l'intolérance de ses victimes. Ce formidable récit d'une résonance singulièrement actuelle explore les tourments d'une famille emblématique durant l'année qui suit le drame. Il évoque aussi la nostalgie du pays perdu et des racines oubliées. Mêlant avec un égal bonheur analogie et métaphore, sa prose poétique lui confère un ton élégiaque et une grande unité esthétique, soutenue par le lent mouvement des saisons, qui viennent contrebalancer la violence des conflits humains et souligner la beauté autant que la brutalité de ce monde.
Né en 1966 à Gujranwala au Pakistan, Nadeem Aslam avait quatorze ans lorsque son père, fuyant le régime du général Zia, s'est installé avec sa famille dans le nord de l'Angleterre. Après des études à l'université de Manchester, il se consacre à l'écriture. Son premier roman, Season of the Rainbirds (1993) a reçu le prix Betty Trask et suscité les éloges de Salman Rushdie. La Cité des amants perdus, sélectionné par le Booker Prize, a été un événement littéraire en Grande-Bretagne.
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Langue : Français
Gavalda, Anna
Publié en 2005
J'ai lu
Livre
Fiction
Roman
Et puis, qu'est-ce que ça veut dire, différents ? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes... Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences... Camille dessine. Dessinais plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin. Ces quatre là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés... Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour -appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
Anna Gavalda est née le 9 décembre 1970 à Boulogne-Billancourt. Elle a grandi en Eure-et-Loir et y a passé une enfance bucolique avec ses trois frères et sœurs qui restent ses meilleurs amis. Après avoir suivi une hypokhâgne et obtenu une maîtrise de Lettres à la Sorbonne, elle subsiste grâce à de petits boulots. Ayant toujours aimé écrire, elle souhaite devenir journaliste. Chroniqueuse pour le cahier Paris-Ile-de-France du Journal du Dimanche, elle enseigne parallèlement le français dans une école privée et traduit des romans anglo-saxons. En 1992, elle devient lauréate France inter pour la plus belle lettre d'amour, ainsi commence l'aventure. En 1999, elle reçoit le grand Prix R.T.L.- Lire pour son premier recueil de nouvelles Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part. Ce titre ne quitte pas les classements des meilleures ventes pendant des mois et est traduit dans une trentaine de langues. En 2002, elle signe son premier roman Je l'aimais. En mars 2004, c'est la consécration avec Ensemble, c'est tout. En 2007 ce roman a été adapté au cinéma par Claude Berri. Elle vit dans la banlieue sud de Paris. Elle écrit matin et soir avec l'envie de raconter des histoires à tout le monde. Elle élève ses deux enfants le reste du temps. En 2008 paraît aux Editions Le Dilettante son roman La consolante, suivi en 2013 de Billie et en 2014 de La vie en mieux. Ces deux derniers ouvrages sont regroupés en format poche sous le titre Des vies en mieux, sorti en mai 2015 chez J'ai lu.
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Langue : Français
Darrieussecq, Marie
Publié en 2013
Livre
Fiction
Roman
Une femme rencontre un homme. Coup de foudre. L'homme est noir, la femme est blanche. Et alors ?
Nationalité : France
Né(e) à : Bayonne , le 3/01/1969
Biographie :
Marie Darrieussecq a été élevée dans un petit village du Pays basque. Elle reste d'ailleurs très attachée au Pays basque, où elle revient régulièrement.
Après de brillantes études de lettres, Darrieussecq publie son premier roman, Truismes, en septembre 1996. Elle l'a écrit pendant qu'elle finissait son doctorat et qu'elle était chargée de cours à l'université Lille 3. Paul Otchakovsky-Laurens l'a publié ainsi que tous ses autres textes.
Elle a apporté son soutien à Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle de 2007.
Marie Darrieussecq est aussi psychanalyste.
Depuis 2001, elle est marraine du Réseau DES France, une association d'aide et d'information aux victimes du Distilbène et aux parents d'enfants nés prématurés à cause de cette hormone de synthèse.
Depuis janvier 2007, elle est aussi marraine de l'association Bibliothèques sans frontières, une jeune ONG qui vise à faciliter l'accès au savoir dans les pays en développement.
En 1998, l'écrivain Marie NDiaye l'accuse de la "singer." En 2007, c'est Camille Laurens qui porte l'accusation de "plagiat psychique" contre Marie Darrieussecq.
"Rapport de police", son premier essai, consacré au thème du plagiat, paraît en 2010.
En 2011, elle publie "Clèves," roman sur l'éveil à la sexualité d'une jeune fille des années 1980.
À partir de septembre 2011, elle tient sur France Culture dans l'émission Les Matins, une chronique hebdomadaire intitulée "Place aux femmes."
En 2013, elle obtient le prix Médicis pour son roman "Il faut beaucoup aimer les hommes."
En 2014, elle est nommée membre du Conseil stratégique de la recherche.
En 2017, sort "Notre vie dans les forêts", l'histoire d'une femme psychologue réfugiée dans une forêt qui écrit un journal et se rappelle une jeune fille qui lui ressemblait.
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Langue : Français
Marai, Sandor
Publié en 2006
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
Roman d'amour, roman de mœurs, fresque sociale, Métamorphoses d'un mariage s'impose comme une œuvre maîtresse de l'auteur des Braises. Ilonka, Peter, Judit sont les acteurs d'un même drame. Chacun à leur tour, ils confient " leur " histoire comme on décline un rôle. L'épouse amoureuse et trahie. Le mari cédant à la passion. La domestique ambitieuse qui brise le couple. En trois récits-confessions qui cernent au plus près la vérité des personnages par un subtil jeu de miroirs, Sandor Marai analyse avec une finesse saisissante sentiments et antagonismes de classe. Mais, au-delà, c'est la fin d'un monde et d'une société - la bourgeoisie; hongroise de l'entre-deux-guerres - que dissèque avec; lucidité le grand écrivain de la Mitteleuropa.
Né en Hongrie en 1900, écrivain cosmopolite, personnage brillant, Sandor Marai connaît dès ses premiers romans un immense succès. Antifasciste déclaré dans une Hongrie alliée à l'Allemagne nazie, il est pourtant mis au ban par le gouvernement communiste de l'après-guerre. En 1948, il s'exile aux Etats-Unis où il mettra fin à ses jours en 1989. Depuis une dizaine d'années, il est devenu un auteur culte de la jeunesse hongroise et jouit dans le monde entier d'une réputation égale à celle d'un Zweig, d'un Roth ou d'un Schnitzler.
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Langue : Français
Paasilinna, Arto
Publié en 1996
Folio
Livre
Fiction
Roman
«Trois lingots d'or fin de douze kilos brillaient dans l'herbe. Rafael Juntunen les caressa. Sa main était moite, son cœur battait plus vite qu'à l'ordinaire. Jamais il n'accepterait de partager ce butin avec quiconque. Il cacherait plutôt ce trésor au fin fond des forêts, par exemple en Laponie, mais il n'en céderait pas une once...Au matin, il monta dans sa voiture et pointa le capot vers le nord... Au bout d'un jour et demi, il constata qu'il était perdu. Mais tant mieux. S'il ne savait pas où il était, personne d'autre ne le saurait.»Le gangster ne va pourtant pas rester seul très longtemps. Il est bientôt rejoint par un ex-major de l'armée, viré pour alcoolisme, et une Lapone nonagénaire enfuie d'un asile de vieillards.Les trois compères vont résister à tout, aussi bien aux complices de Rafael, décidés à récupérer leur part du magot, qu'aux représentants de la «civilisation».Mais on ne transgresse pas impunément les lois qui règlent la vie en société... Petit malfrat sans envergure, Rafael Juntunen se retrouve à la tête d'une véritable fortune en lingots d'or à la suite d'un hold-up dont il sort indemne mais pas ses deux camarades du crime. Pour eux la prison, pour lui la liberté. Et il ne s'inquiète pas trop Rafael, il profite de sa toute récente fortune, astucieusement cachée sous un tas de fumier, à l'abri des murs de sa ferme en Vehmersalmi. Mais il semble qu'il y ait une justice même chez les gangsters. Ses deux associés ne tardent pas à sortir de prison et la nouvelle va obliger Rafael à faire l'impossible pour sauvegarder son magot face aux justes exigences de ses anciens complices. Amoureux des personnages atypiques et hors normes, Arto Paasilinna nous entraîne à nouveau dans le grand Nord à la suite de marginaux aussi fous que cocasses à la (re)découverte de la nature et des sentiments. Il mène son intrigue tambour battant à l'image de ses traîneaux traversant les espaces blancs, guidés par des chiens sauvages : amour, aventure, humour et soif d'absolu sont alors de mise. --Hector Chavez
Nationalité : Finlande
Né(e) à : Kittilä , le 20/04/1942
Mort(e) à : Espoo , le 15/10/2018
Biographie :
Arto Paasilinna est un écrivain finlandais.
Il est né dans un camion, en plein exode face aux forces soviétiques, durant la Guerre de Continuation ; sa famille, fuyant les combats, est chassée vers la Norvège, puis la Suède et la Laponie finlandaise.
Dès l'âge de treize ans, il exerce divers métiers, dont ceux de bûcheron et d'ouvrier agricole, pratiquant les métiers du bois et de la terre nécessaires pour reconstruire la Laponie dévastée par la Seconde Guerre Mondiale. A vingt ans, il décide de reprendre ses études afin de devenir journaliste et va à l’école Supérieure d’éducation populaire de Laponie (1962-1963). Il entre ensuite, comme journaliste-stagiaire, au quotidien régional Lapin Kansa (Le peuple lapon).
Il collabore de 1963 à 1988 à divers journaux et revues littéraires.
Il est marié à Terttu Annikki Paasilinna, née Kasper. Il a deux fils : Jyrki Petteri (1964) et Janne (1967).
Les premiers romans sont du genre « grinçant » : "Prisonniers du paradis", "Le Lièvre de Vatanen", "Un homme heureux", "Le Meunier hurlant", "La Forêt des renards pendus". La deuxième période est plutôt « picaresque », avec "Petits suicides entre amis", "Le Fils du dieu de l'orage" et "Le Bestial Serviteur du pasteur Huuskonen".
Arto Paasilinna a aussi écrit pour le cinéma, la radio et la télévision ; il s'intéresse aux arts graphiques et a écrit des poèmes.
En octobre 2009, il est victime d'un accident vasculaire cérébral. Son fils Petteri Paasilinna a confirmé en septembre 2011 que son père avait séjourné en maison de soin palliatifs en avril 2010.
Reino Paasilinna, député européen, est son frère.
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Langue : Français
Eggers, Dave
Publié en 2003
J'ai lu
Livre
Fiction
Roman
" Je suis sans racines, arraché de toutes les fondations, un orphelin qui élève un orphelin, et je veux prendre tout ce qui existe et le remplacer par ce que j'ai fait. Je n'ai rien sauf mes amis et ce qui reste de ma petite famille. J'ai besoin de communier, j'ai besoin de répercussions, J'ai besoin d'amour, de relations, d'échange. Je suis prêt à saigner s'ils veulent m'aimer. Laissez-moi essayer, laissez-moi le prouver. " Voici l'histoire, à peine romancée, de Dave Eggers, racontée par lui-même. Dave a vingt et un ans lorsqu'il perd dans le même mois sa mère et son père. Avec son jeune frère Toph, dont il a la charge, il quitte alors la maison familiale et s'installe en Californie, face au soleil et à la mer. C'est là que débute la vie héroïque d'une fraternité joyeuse, malgré les fantômes d'un passé tragique. Une vie à réinventer.
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Boston , le 12/03/1970
Biographie :
Dave Eggers est un écrivain américain. Il est aussi fondateur du magazine littéraire The Believer et la maison d'édition McSweeney's.
Sa femme Vendela Vida est rédactrice en chef du The Believer.
Il a écrit 3 livres populaires:
A Heartbreaking Work of Staggering Genius (Une oeuvre déchirante d’un génie renversant) (Éditions Balland, Paris, 2001),
You Shall Know Our Velocity(Suive qui peut ), How We Are Hungry (Pourquoi nous avons faim), et
What Is the What: The Autobiography of Valentino Achak Deng (Le Grand Quoi : Autobiographie de Valentino Achak Deng).
En août 2009 paraît Le grand quoi , aux éditions Gallimard.
Il vit à San Francisco Bay Area avec sa femme et leurs deux enfants.
Dave Eggers et Vendela Vida sont les scénaristes de Away We Go, film de Sam Mendes, sorti en 2009.
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Langue : Français
Marai, Sandor
Publié en 2003
Le livre de poche
Livre
Fiction
Roman
La fin de l'empire austro-hongrois et ses prolongements crépusculaires ont inspiré des écrivains majeurs comme les Autrichiens Joseph Roth, Stefan Zweig ou Arthur Schnitzler. Il faut y ajouter le Hongrois Sàndor Marai (1900-1989) qui, aujourd'hui, est enfin reconnu comme un immense écrivain européen. L'Héritage d Esther, publié en 1939, rassemble en un bref récit tout ce qui fait l'art de Marai. Retirée dans une maison qui menace ruine, engourdie dans une solitude qui la protège, une femme déjà vieillissante voit soudain ressurgir le seul homme qu'elle a aimé et qui lui a tout pris, ou presque, avant de disparaître vingt ans plus tôt. La confrontation entre ces deux êtres complexes - Esther la sage, ignorante de ses propres abîmes et Lajos l'insaisissable, séducteur et escroc - est l'occasion d'un de ces face à face où l'auteur des Braises et de La Conversation de Bolzano excelle. Un face à face où le passé semble prêt à renaître de ses cendres, le temps que se joue le dernier acte du drame, puisque " la loi de ce monde veut que soit achevé ce qui a été commencé ". La tension dramatique extrême, l'atmosphère somnambulique, l'écriture sobre et précise font de ce court roman un véritable chef-d'œoeuvre
Né en Hongrie en 1900, Sándor Márai connaît dès ses premiers romans un immense succès. Antifasciste déclaré dans une Hongrie alliée à l’Allemagne nazie, il est mis au ban par le gouvernement communiste de l’après-guerre. En 1948, il s’exile aux Etats-Unis où il mettra fin à ses jours en 1989. Redécouvert dans les années 90, il jouit aujourd'hui dans le monde entier d’une réputation égale à celle de Zweig, Roth ou Schnitzler.
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Langue : Français
Fleutiaux, Pierrette
Publié en 2003
Livre
Fiction
Roman
"On fait avec le vieux parent comme on a fait avec ses enfants : on voudrait qu'il mène une vie saine, fasse du sport, ait de bons amis, se porte bien et ne vous colle pas aux basques. On fait ce qu'on sait faire. On devient tyrannique." C'est la maison de retraite. Il y a les dames, le directeur, le docteur, la coiffeuse, l'aimable mon-sieur B. et le très aimable monsieur des pompes funèbres. Il y a la mère, et la fille qui vient en visite. Et aussi les amis et les proches. Il y a l'hôte secret, que nul ne doit regarder, le corbeau qui contemple de son oeil noir cette ultime comédie des vivants, et attend son heure.
Nationalité : France
Né(e) à : Guéret (Creuse) , 1941
Mort(e) à : Paris , le 27/02/2019
Biographie :
Pierrette Fleutiaux est un auteur contemporain, qui a obtenu le prix Femina 1990, pour Nous sommes éternels.
Fille d'une mère professeur de sciences naturelles et d'un père directeur de l'Ecole normale d'instituteurs, Pierrette Fleutiaux passe son enfance dans un petit village de la Creuse, à dévorer les livres de la bibliothèque parentale. Elle fait ses études à Limoges, Poitiers, Bordeaux, Londres. Agrégée d'anglais à La Sorbonne, elle est à la fois fascinée et troublée par Paris, qui lui cause un véritable 'choc' selon ses propres dires. Son départ pour New York est une délivrance : elle s'y installe avec sa famille et y élève son fils. Enseignante au Lycée français, elle est employée ponctuellement par l'ONU entre divers petits boulots. Sa rencontre avec Anne Philipe, son premier éditeur, est déterminante pour la romancière sur le plan personnel et professionnel. Ses nombreux voyages sont une mine d'or pour ses romans : son séjour à l'île de Pâques en 1997 inspire son roman 'L' expédition' (1999). Les éditions 'Actes Sud' publient 'Des phrases courtes, ma chérie' en 2001, ouvrage récompensé par de nombreux prix. Pierrette Fleutiaux, 'provinciale internationale', partage son temps entre Paris et Royan.
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Langue : Français
Mauvignier, Laurent
Publié en 2002
Livre
Fiction
Roman
Lorsque Luc est parti, ses parents, Jean et Marthe, ont pensé que c'était mieux pour eux trois. Gilbert et Geneviève, son oncle et sa tante, eux aussi ils y ont cru. Mais pas Céline, sa cousine. Elle, c'est la seule qui n'a pas été surprise, la seule à avoir craint que ce qui en Luc les menaçait finisse par s'abattre sur eux.
Laurent Mauvignier est né en 1967. Loin d'eux (1999) est son premier roman. En septembre 2000, il publie le deuxième, Apprendre à finir qui obtient le prix du Livre Inter 2001 et, en septembre 2002, le troisième, Ceux d'à côté
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Langue : Français
Pancol, Katherine
Publié en 2009
Le livre de poche
Livre
Fiction
Roman
Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser… Deux bras qui enlacent ou qui tuent… Un homme inquiétant, mais si charmant… Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment… Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour… Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants… Un père, là-haut dans les étoiles… qui murmure à l’oreille de sa fille... Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage… Des personnages qui avancent obstinément... comme des petites tortues entêtées… qui apprendraient à danser lentement, lentement… dans un monde trop rapide, trop violent...
Professeur de lettres puis journaliste, Katherine Pancol écrit un premier roman en 1979 : Moi d’abord. Elle part ensuite pour New York suivre des cours de creative writing à Columbia University. Devenue un des plus grands phénomènes d’édition de ces dernières années, elle connaît avec ses romans un succès mondial (déjà traduite dans 30 pays).
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Langue : Français
Marias, Javier
Publié en 2008
Folio
Livre
Fiction
Roman
Juan vient d'épouser Luisa, traductrice et interprète comme lui. Jeune homme sans histoires, il a tout pour être heureux. Il a toutefois, au retour de son voyage de noces, le sentiment que quelque chose va se produire, et éprouve un certain malaise. Vient-il des propos ambigus que lui a tenus son père après la cérémonie, d'une scène surprise à La Havane pendant le voyage, ou tout simplement d'une histoire familiale gardée jusqu'alors secrète ? Le roman de Javier Marias s'ouvre sur un suicide magistralement conté et se referme sur une révélation en coups de théâtre successifs selon les jeux subtils du mensonge et de la vérité, des secrets et des soupçons. Usant tour à tour de l'ironie, du drame, de la farce, du tableau de mœurs, Marias invente une forme neuve pour rendre compte d'un cheminement intellectuel inédit.
Né à Madrid en 1951, Javier Marias est l'une des figures majeures de la littérature européenne actuelle. Elu à l'Académie royale espagnole en 2006, il est l'auteur d'une douzaine de romans, dont Un coeur si blanc (1993), Demain dans la bataille pense à moi (1996) et la trilogie Ton visage demain (2004, 2007, 2010), tous distingués par les plus grands prix internationaux.
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Langue : Français