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Dussauze, Michel
Publié en 1993
Livre
Fiction
Roman
Un long récit poignant dans un compartiment de chemin de fer en 1954
Mots clefs :
Langue : Français
Couturier, Yves
Publié en 1993
Livre
Fiction
Roman
Nationalité : France
Biographie :
Yves Couturier, auteur des romans classés en littérature jeunesse mais que beaucoup d'adultes ont plaisir à découvrir et à lire.
Livres de Y.Couturier: Lire les textes anciens (Geste 2005), L'autre (La Cabane Sur Le Chien 2005) et Rendez-vous de Toussaint (treizième et dernier roman actuellement paru , Gunten Eds 2007) .
Mots clefs :
Langue : Français
Mcgill, Gordon
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
"Tout semble indiquer que votre petit Jessie est la réincarnation du très saint Lama Dordjé … " C'est la surprenante déclaration que des moines tibétains viennent faire à une famille sans histoire de Seatlle. Un enfant blond de 8 ans, fana de jeux électroniques ? Et bien justement, les moines reconnaissent là l’humour très particulier de leur vénérable maître... Mais pour en être tout à fait sûr, il faudrait que Jessie se rende dans une lamasserie du Bhoutan au cœur de l’Himalaya, celle-là même où a vécu Lama Dordjé...
Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1943
Biographie :
Gordon McGill est un écrivain, auteur des novélisations.
Mots clefs :
Langue : Français
Pasinetti, Pier Maria
Publié en 1993
Livre
Fiction
Roman
En toile de fond, les années 20 et la montée du fascisme. Au premier plan, les vies croisées des Balmarin, Tolotta Pelz et Bialevski, vieilles familles vénitiennes qui habitent le même palais sur les Zattere. Au centre de ce microcosme, la jeune Giovanna Balmarin, lumineuse et lancinante présence, qui occupe une place spéciale dans le coeœur du narrateur Giorgio Partibon, spectateur indulgent et implacable. Le récit se déroule entre 1928 et les années 80 dans un entrelacs d’'amitiés, d’'antipathies, d’'amours et de chagrins. Et puis, il y a Dorsoduro, le plus précieux des quartiers de la lagune, et Venise «le lieu idéal» pour situer un roman d’après Pasinetti, car tout le monde y joue un rôle.
Nationalité : Italie
Né(e) à : Venise , le 24/06/1913
Mort(e) à : Venise , le 08/07/2006
Biographie :
Pier Maria Pasinetti est un écrivain et un journaliste italien.
Né à Venise, il l’avait quittée relativement tôt pour achever ses études et pour enseigner la littérature à l’étranger. Il se sentait chez lui à Los Angeles comme à Venise, à Paris comme à Stockholm ou à Göttingen. Il a enseigné la littérature dans les universités de la plupart de ces villes et envoyé des correspondances à la presse italienne.
Il faisait en même temps partie du monde du cinéma italien, en tant que scénariste et publiait des articles culturels dans quelques grands journaux de son pays. Frère du cinéaste Francesco Pasinetti (1911-1949), il collabora lui-même avec plusieurs réalisateurs : il co-signa, en particulier, le scénario de "La Dame sans camélias" d'Antonioni (1953).
Son premier roman, "Rouge vénitien" (Rosso veneziano, 1959), eut un énorme succès aux États-Unis où il avait paru peu de temps après sa publication en Italie, en 1960, et fut traduit dans de nombreux pays. Il reste un des livres clés de l’univers de Pasinetti, par sa teneur comme par son écriture : la plupart de ses personnages vont réapparaître jusque dans les dernières œuvres du romancier.
C'est surtout aux États-Unis que Pasinetti devait affermir son statut d'écrivain. Avant de se réinstaller définitivement à Venise, il vivait la plupart du temps à Los Angeles où il enseignait, à l'UCLA, la littérature italienne.
Il était l'auteur d'une œuvre foisonnante, allant de "Rouge vénitien" à "À propos d'Astolfo" (A proposito di Astolfo, 2005), son dernier roman, en passant par "De Venise à Venise" (Dorsoduro, 1983) et "Partition vénitienne" (Melodramma, 1993) dont le succès leur a valu plusieurs rééditions.
Son œuvre a été couronnée, en Italie et aux États-Unis, de plusieurs prix, parmi lesquels le Prix Comisso (pour "Partition vénitienne", 1993) et le Prix du National Institute of Arts and Letters de New York.
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Langue : Français
Baldwin, James
Publié en 1993
Editions Stock
Livre
Fiction
Roman
Si Beale Street pouvait parler, elle raconterait à peu près ceci : Tish, dix-neuf ans, est amoureuse de Fonny, un jeune sculpteur noir. Elle est enceinte et ils sont bien décidés à se marier. Mais Fonny, accusé d'avoir violé une jeune Porto-Ricaine, est jeté en prison. Les deux familles se mettent alors en campagne, à la recherche de preuves qui le disculperont. Pendant ce temps, Tish et Fonny ne peuvent qu'attendre, portés par leur amour, un amour qui transcende le désespoir, la colère et la haine.Ce roman charmant, malgré sa violence pas toujours contenue, a le goût doux-amer des blues tant aimés de James Baldwin qui se montre ici égal à son prodigieux talent.Né à Harlem en 1923, mort à Saint-Paul-de-Vence en 1986, James Baldwin a laissé une oeuvre considérable de romancier mais aussi de grand polémiste, dont les Editions Stock ont publié Chassés de la lumière, Meurtres à Atlanta et cet inoubliable chef-d'oeuvre qu'est Harlem quarter.
Nationalité : États-Unis Né(e) à : Harlem , le 02/08/1924 Mort(e) à : Saint-Paul-de-Vence, France , le 30/11/1987 Biographie : James Baldwin est un écrivain américain, auteur de romans, de poésies, de nouvelles, de pièces de théâtre et d’essais. Il naît à Harlem dans un milieu défavorisé. Pendant son adolescence, il est très actif dans son église pentecôtiste. Il quitte sa mère à dix-sept ans, vit de jobs mal payés et commence son apprentissage littéraire. Au début des années 1940, Baldwin écrit des nouvelles, des essais et des critiques de livres. Bien que les éditeurs rejettent son travail, ses chroniques pour des revues telles que The New Leader, The Nation, ou Partisan Review lui valent en 1948 une bourse Rosenwald. Il part pour Paris et Londres, mû par les relations tendues avec son beau-père, le racisme ambiant et des questions d'identité sexuelle. Il termine en Suisse son premier roman semi-autobiographique, "La Conversion" (Go Tell It On The Mountain, 1953), son œuvre la plus connue, qui lui vaut tout de suite la reconnaissance, suivi de la pièce "Le coin des amen" (The Amen Corner) en 1954. Pendant son séjour en Europe il écrit également l'essai "Stranger in The Village" (1953) dans lequel il raconte sa visite d'un petit village suisse, et le racisme ignorant qu'il y a ressenti. Après une dizaine d'années passées en Europe, principalement à Paris et Istanbul, il rentre aux États-Unis en 1957 pour s'impliquer dans le mouvement pour les droits civiques. Dans ses œuvres suivantes, romans et essais, Baldwin explore des thèmes hautement politiques: l'homosexualité dans "La chambre de Giovanni" (Giovanni’s Room, 1956), et la condition des noirs - ainsi que le risque d'une explosion de violence de la part de cette communauté mise à l'écart - dans "Chronique d'un pays natal" (Notes of A Native Son, 1955), "Personne ne sait mon nom" (Nobody Knows My Name, 1961) et "La prochaine fois, le feu" (The Fire Next Time, 1963). Il a été distingué à de nombreuses reprises et a notamment obtenu le prix George-Polk en 1963. Baldwin s'installe à Saint-Paul-de-Vence dans le sud de la France en 1970 dans une ancienne maison provençale. Il écrit certains de ses derniers travaux dans cette maison, notamment "Harlem Quartet" (Just Above My Head) en 1979, et "Preuves de phénomènes invisibles" (Evidence of Things Not Seen) en 1985. Son roman, "Si Beale Street pouvait parler" (If Beale Street Could Talk, 1974), est adapté au cinéma par Barry Jenkins en 2018.
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Langue : Français
EAN : 9782234016170
Sabatier, Robert
Publié en 1993
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
Renouant avec la veine qui a fait le succès des Allumettes suédoises et de David et Olivier, Robert Sabatier nous conduit ici, une fois encore, dans le « village » montmartrois des années 30 où il a grandi. Nous retrouvons, un peu plus jeunes, Olivier, Capdeverre, Loulou et des dizaines d'autres, entre l'école et la maison, entre les aventures du coin de la rue et les aventures des illustrés l'enfance, ses bonheurs, ses rêves, ses rires. Autour d'eux, les grands : Fil de fer le clochard mythomane, la belle Lucienne montrant fièrement le coup de couteau donné par son homme... La gouaille et les couleurs du vieux Paris revivent dans ces pages tour à tour émouvantes et drôles, au fil de saynètes ressurgies du souvenir, imprégnées de tendresse et de mélancolie.
Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 17/08/1923
Mort(e) à : Boulogne-Billancourt , le 28/06/2012
Biographie :
Robert Sabatier est un écrivain et poète français.
Il a écrit des romans, des essais, des recueils d'aphorismes et de poésies. Il a été élu à l'Académie Goncourt en 1971, ainsi qu'à l'Académie Mallarmé. Il est l'auteur d'une Histoire de la Poésie française. Élevé à Montmartre, puis dans le quartier du Canal Saint-Martin dans les années 30, il a raconté son enfance dans les séries du "roman d'Olivier", dont les Allumettes Suédoises, porté à l'écran par Jacques Ertaud, assura un important succès de librairie (3 millions d'exemplaires vendus à ce jour), avec ses épisodes les plus récents comme Olivier 1940 et les Trompettes Guerrières. Les années secrètes de la vie d'un homme, traduit en allemand et en suédois sous le titre d'"Ego", mais aussi Diogène et le Traité de la Déraison Souriante révèlent un auteur plus grave, proche davantage de Cioran que de Mac Orlan.
Il travaille dans le milieu de l'édition depuis 1950, aux Presses universitaires de France, puis en tant que Directeur de publication aux éditions Albin Michel jusqu'en 1971. Vers 1978, il réalise un enregistrement en 33 tours où il récapitule déjà sa carrière d'auteur.
Il est décédé, à l'âge de 88 ans, le 28 juin 2012.
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Langue : Français
Higgins Clark, Mary
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Ronald Thompson doit mourir sur la chaise électrique. Témoin terrorisé, le petit Neil a affirmé, au cours du procès, le reconnaître comme le meurtrier de sa mère. Mais Ronald a toujours clamé son innocence. À quelques heures de la sentence, l'enfant est enlevé avec une jeune journaliste amie de son père, par un déséquilibré qui se fait appeler Renard. Il les séquestre dans la gare centrale de New York. Le kidnappeur menace de faire sauter une bombe au moment précis où le condamné sera exécuté. Existe-t-il un lien entre ces deux terribles faits divers ? Un innocent va-t-il payer pour le crime d'un autre ? Une course contre la montre s'est engagée... Ce roman a révélé les talents d'un véritable maître du suspense. L'intrigue est un délicieux cocktail, corsé d'angoisse et de cruauté, mené à un rythme tambour battant qui maintient la tension jusqu'à la dernière page. Personne n'en sort indemne, pas même le lecteur. Mary Higgins Clark a reçu pour ce best-seller international le Grand Prix de littérature policière 1980. Claude Mesplède.
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New-York , le 24/12/1927
Biographie :
Mary Higgins Clark est d'origine irlandaise. Orpheline de père à dix ans, elle arrête très jeune ses études pour exercer la profession de secrétaire, puis celle d'hôtesse de l'air.
Elle épouse ensuite Warren Clark, se consacre à sa famille (cinq enfants) et commence l'écriture de nouvelles. Après de nombreux refus, une première nouvelle est publiée en 1956 par un magazine. A la mort de son mari, en 1964, elle devient rédactrice de scripts pour une radio...
Parallèlement, elle continue à écrire. Son premier livre, une biographie de Georges Washington, est un échec. Elle décide alors de rédiger un roman à suspens : "La maison du guet" qui devient un best seller. En 1980, "La nuit du renard" obtient le Grand Prix du Roman Policier.
Tout en s'occupant de ses enfants, l'écrivain reprend ses études (elle obtient un doctorat de philosophie) et publie un roman par an. Aujourd'hui, elle co-écrit des livres avec sa fille, Carol Higgins Clark.
Mots clefs :
Langue : Français
Higgins Clark, Mary
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
La jeune et ravissante Elizabeth Lange est hantée par la mort tragique de sa sœur, une star de l'écran et de la scène, tombée, dans des circonstances pour le moins mystérieuses, de la terrasse de son appartement à New York. A-t-elle été assassinée par son amant, l'irrésistible magnat des affaires Ted Winters, lui-même en proie à des tourments secrets ? S'est-elle suicidée ? Mais pourquoi Leila aurait-elle voulu se supprimer alors qu'elle était heureuse et au sommet de sa gloire ? Quelqu'un d'autre l'aurait-il tuée - mais qui pourrait en vouloir à une jeune femme aimée et admirée ? Minée par le chagrin, Elizabeth est invitée par la baronne Minna von Schreiber, sa plus vieille amie, à venir se reposer dans le luxueux institut de remise en forme de Cypress Point, en Californie. Mais au lieu d'y trouver le calme et la détente dont elle a tant besoin, elle va être confrontée non seulement à Ted, mais aux meilleurs amis de sa sœur qui ont tous un motif pour l'avoir tuée… Depuis La nuit du renard, les livres de Mary Higgins Clark sont tous de haletants thrillers, tous des best-sellers, et Ne pleure pas ma belle est un des mieux réussis.
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New-York , le 24/12/1927
Biographie :
Mary Higgins Clark est d'origine irlandaise. Orpheline de père à dix ans, elle arrête très jeune ses études pour exercer la profession de secrétaire, puis celle d'hôtesse de l'air.
Elle épouse ensuite Warren Clark, se consacre à sa famille (cinq enfants) et commence l'écriture de nouvelles. Après de nombreux refus, une première nouvelle est publiée en 1956 par un magazine. A la mort de son mari, en 1964, elle devient rédactrice de scripts pour une radio...
Parallèlement, elle continue à écrire. Son premier livre, une biographie de Georges Washington, est un échec. Elle décide alors de rédiger un roman à suspens : "La maison du guet" qui devient un best seller. En 1980, "La nuit du renard" obtient le Grand Prix du Roman Policier.
Tout en s'occupant de ses enfants, l'écrivain reprend ses études (elle obtient un doctorat de philosophie) et publie un roman par an. Aujourd'hui, elle co-écrit des livres avec sa fille, Carol Higgins Clark.
Mots clefs :
Langue : Français
Queffélec, Yann
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Charlie a dix ans, dont neuf d'orphelinat. Une bonne moyenne, diront certains, pour un enfant noir. Et puis, un beau jour, les Bourgran apparaissent dans sa vie, Mado et Monsieur Bob. Des parents adoptifs pas tout à fait comme dans les contes de fées, mais bon, c'est mieux que rien. Et Charlie rêve : une chambre à soi, même en sous-sol, même dans une cité-dortoir, c'est le début d'une vie normale, non ? Seul hic à l'horizon, Eric, dix-huit ans, skinhead, néo-nazi déjanté, méchant, raciste, et vrai fils des Bourgran. Une menace plus que réelle pour Charlie qui découvre l'enfer au quotidien, et tout l'art de la survie...
Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 4/09/1949
Biographie :
Yann Queffélec, de son vrai prénom Jean-Marie Queffélec, est un écrivain français.
Il est le fils de l'écrivain breton Henri Queffélec et le frère de la pianiste Anne Queffélec ; il a été marié à la pianiste Brigitte Engerer, avec qui il a eu une fille.
Bien qu'il vive encore à Paris, il a gardé de fortes attaches en Bretagne notamment à l’Aber-Ildut.
Amoureux de la mer et de sa Bretagne il fut stagiaire dès 1962 puis moniteur à la célèbre école de voile Jeunesse et Marine et il a pu naviguer avec Éric Tabarly.
Il entame sa carrière d'écrivain en éditant à 32 ans une biographie de Béla Bartók. Quatre ans plus tard, il reçoit le prix Goncourt pour son roman "Les noces barbares". Il est l'auteur de nombreux romans et d'un recueil de poèmes. Il y décrit des personnages passionnés en mal d'amour. Il écrit aussi des paroles de chansons, notamment pour Pierre Bachelet.
En 1998, il anime sur internet la création d'un roman interactif Trente jours à tuer.
Il reçoit le Prix des Hussards (2016) pour "L'homme de ma vie".
Il a été chroniqueur pour l'émission de France 2 : "Pourquoi les manchots n'ont-ils pas froid aux pieds ?"
Mots clefs :
Langue : Français
Higgins Clark, Mary
Publié en 1993
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
Pour aider une de leurs amies, productrice de télévision, à réaliser un reportage sur les journaux de rencontres, Darcy Scott et Erin Kelley répondent à des petites annonces. L’occasion, peut-être, de trouver le prince charmant, avait ajouté en riant Nona. Charley, lui, a une passion pour les petites annonces. Il les rédige toutes de la même manière : « Recherche jeune femme aimant danser. » Déjà sept filles sont enterrées dans sa propriété, chacune avec une magnifique chaussure de bal au pied droit. Charley aime tellement danser...
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New-York , le 24/12/1927
Biographie :
Mary Higgins Clark est d'origine irlandaise. Orpheline de père à dix ans, elle arrête très jeune ses études pour exercer la profession de secrétaire, puis celle d'hôtesse de l'air.
Elle épouse ensuite Warren Clark, se consacre à sa famille (cinq enfants) et commence l'écriture de nouvelles. Après de nombreux refus, une première nouvelle est publiée en 1956 par un magazine. A la mort de son mari, en 1964, elle devient rédactrice de scripts pour une radio...
Parallèlement, elle continue à écrire. Son premier livre, une biographie de Georges Washington, est un échec. Elle décide alors de rédiger un roman à suspens : "La maison du guet" qui devient un best seller. En 1980, "La nuit du renard" obtient le Grand Prix du Roman Policier.
Tout en s'occupant de ses enfants, l'écrivain reprend ses études (elle obtient un doctorat de philosophie) et publie un roman par an. Aujourd'hui, elle co-écrit des livres avec sa fille, Carol Higgins Clark.
Mots clefs :
Langue : Français
Clément-mainard, Michelle
Publié en 1993
Le livre de poche
Livre
Fiction
Roman
Marie Therville n'a que huit ans quand son père la place comme bergère dans une ferme de Gâtin à la Saint-Michel 1844. Haïe par sa famille, cette petite fille n'a guère connu que la pauvreté et la violence les plus extrêmes. Vive et décidée, elle gagne rapidement l'affection de tous les gens de la ferme. Et même leur admiration lorsqu'elle ose se battre avec un loup à l'âge de neuf ans. Marie découvre un bonheur de vie qu'elle n'aurait jamais imagine autrefois parmi les siens, qui l'ont abandonnée si facilement. Pourquoi cet abandon ? Le livre nous en dévoile la raison à travers un personnage étrange surgi dans la région un demi-siècle plus tôt : Jean Therville, son grand-père. Ce révolutionnaire excentrique a ruiné la famille et semé des légendes, laissant derrière lui un héritage dont Marie ne soupçonne pas le poids dans son propre destin. La Fourche à loup nous révèle l'équilibre précaire d'un monde paysan où les saisons et la misère font la loi. Les secrets et les passions qui habitent les êtres viennent rompre cet ordre.
Nationalité : France
Né(e) à : Azay-le-Brûlé (Deux-Sèvres) , le 6/12/1925
Biographie :
Michelle Clément-Mainard est née le 6 décembre 1925 à Azay-le-Brûlé, dans les Deux-Sèvres.
Après une carrière d'institutrice en Vendée, elle est revenue vivre dans son village natal.
Sa vocation d'écrivain a été révélée avec La Fourche à loup (1985), prix de la Corne d'Or limousine 1986, qui a obtenu, dès sa parution, un énorme succès. Il en sera de même avec ses deux autres romans : La Foire aux mules (1986), prix Animal et Nature des Caisses d'Epargne Ecureuil 1987, prix Eugène Leroy du Ministère de 1 Agriculture 1987 et Les Sabots de la liberté (1989).
Le Livre de Poche, LGF
Mots clefs :
Langue : Français
Giroud, Françoise
Publié en 1993
Presses Pocket
Livre
Fiction
Roman
Elle était belle, très belle. Intelligente, altière. On la disait "magique". Elle fut aussi la femme du "diable":.. Jenny von Westphalen et Karl Marx ont été mariés trente-huit ans. Étrange alliance que celle d'une aristocrate prussienne et d'un révolutionnaire impécunieux... Ils ont vécu une authentique histoire d'amour. D'une espèce terrible. "Celle qui enchaîne une femme à un homme de génie?' Ensemble, ils ont tout connu : la bohème, l'exaltation révolutionnaire, la faim, les persécutions policières, l'exil... Si Jenny fut aimée, elle fut aussi trahie et versa des larmes amères lorsqu'en 1851 leur domestique donna naissance à l'enfant de Karl... Aujourd'hui, l'idole Karl Marx est tombée à terre. Mais son oeuvre demeure, magistrale. Nourrie du sang de Jenny.
Nationalité : France
Né(e) à : Lausanne , le 21/09/1916
Mort(e) à : Neuilly-sur-Seine , le 19/01/2003
Biographie :
Françoise Giroud, née Léa France Gourdji, est une journaliste, écrivaine et femme politique française.
Née de parents turcs et juifs séfarades, elle devient un temps la secrétaire d'André Gide, puis commence une carrière dans le cinéma à Paris. Dès 1935, sous le nom de France Gourdji, elle apparaît au générique du film "Baccara" d'Yves Mirande. Puis elle devient la première femme scripte du cinéma français auprès de Marc Allégret, de Jean Renoir dont elle est l'assistante-metteur en scène à partir de 1937, puis de Jacques Becker dont elle est coscénariste puis scénariste sous le nom de Françoise Giroud.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle devient agent de liaison pour la Résistance, ce qui lui vaut d'être arrêtée par la Gestapo et incarcéré à Fresnes en 1944.
En 1945, elle est engagée par Hélène Lazareff comme directrice de la rédaction du nouveau magazine "Elle". Elle le reste jusqu'en 1953, date à laquelle elle fonde "L'Express" avec son compagnon Jean-Jacques Servan-Schreiber. Elle le dirigera jusqu’en 1974 et ce, en tant que directrice de la rédaction, puis de la publication. Elle assure également le poste de présidente du groupe Express-Union, entre 1970 et 1974.
Elle s'investit également dans la vie politique. Membre du parti radical socialiste, elle soutient Mendès-France puis Mitterrand. Elle devient secrétaire d'état à la condition féminine (1974-1976) puis à la culture (1977-1979) pour Giscard d'Estaing. Françoise Giroud quitte la scène politique en 1979 et se tourne définitivement vers l’écriture. Inspirée par les ors de la République, elle écrit "La Comédie du pouvoir" (1977) puis "Le Bon Plaisir" (1983), adapté au cinéma en 1984.
En 1983, Jean Daniel lui propose d'être éditorialiste au "Nouvel Observateur" où elle écrit durant vingt ans des chroniques de télévision. Elle produit également plusieurs émissions de télévision et publie essais, biographies et romans à succès.
Françoise Giroud est la mère de la pédopsychiatre et psychanalyste Caroline Eliacheff (1947), née de son mariage avec Anatole Eliacheff, producteur de cinéma.
Mots clefs :
Langue : Français