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She, Lao
Publié en 2001
Folio
Livre
Fiction
Roman
Dans ce troisième et dernier volet de Quatre générations sous un même toit, les habitants du Petit-Bercail sont pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Le conflit s'étend. Les Pékinois sont confrontés à la terrible réalité du rationnement et la famine qui sévit dans tout le pays s'abat sur la capitale. Elle n'épargne pas les plus innocents, tandis qu'elle amène les traîtres au pays à montrer toute la noirceur de leur âme. - L'édifice bâti par le vieux Qi tremble sur ses bases. La famille Qi, durement touchée, résistera-t-elle à la tourmente? - Le profond humanisme de Lao She, fait d'intelligence, d'humour et de tolérance, son style précis et poétique, continuent à captiver le lecteur qui retrouve avec bonheur des personnages devenus familiers.
Biographie de l'auteur
Né en 1899 dans une famille mandchoue de Pékin, Lao She est, dès son enfance, plongé dans une société en pleine évolution. Enseignant pendant une vingtaine d'années, il se consacre à son œuvre à partir de 1936, date à laquelle paraît Le Pousse-pousse. Élu vice-président de l'Union des Écrivains chinois, il publie en 1956 sa plus belle pièce, La Maison de thé. «Suicidé» au début de la Révolution culturelle, il a laissé un grand roman autobiographique inachevé. Il a été officiellement réhabilité en 1978.
Mots clefs :
Langue : Français
She, Lao
Publié en 2000
Folio
Livre
Fiction
Roman
Dans le premier volume, Lao She nous faisait pénétrer dans l'univers de la famille Qi, au cœur du quartier du Petit-Bercail à Pékin. Nous les retrouvons tous ici, mais, malgré le printemps naissant, tout a changé et l'atmosphère familial est triste. Plus rien n'est comme avant depuis que Pékin vit sous le joug des Japonais. La cohabitation entre Japonais et Chinois se déroule dans un climat lourd et oppressant. Lao She jette un regard plein d'amour et de nostalgie sur une famille déchirée, mais solidaire, sur un peuple déraciné mais plein d'espoir, sur l'être humain dans ce qu'il a de plus généreux et d'inquiétant.
Né en 1899 dans une famille mandchoue de Pékin, Lao She est, dès son enfance, plongé dans une société en pleine évolution. Enseignant pendant une vingtaine d'années, il se consacre à son œuvre à partir de 1936, date à laquelle paraît Le Pousse-pousse. Élu vice-président de l'Union des Écrivains chinois, il publie en 1956 sa plus belle pièce, La Maison de thé. «Suicidé» au début de la Révolution culturelle, il a laissé un grand roman autobiographique inachevé. Il a été officiellement réhabilité en 1978.
Mots clefs :
Langue : Français
She, Lao
Publié en 1998
Folio
Livre
Fiction
Roman
Comme le titre l'indique, Quatre générations sous un même toit est d'abord une histoire de famille. Le roman s'ouvre sur l'anniversaire du vieux Qi, le patriarche qui vit avec toute sa famille réunie, dans l'une des cours du Petit-Bercail à Pékin. Il est fier que sa longévité lui permette de connaître jusqu'à ses arrière-petits-enfants. Pour un homme qui a vu la fin de l'Empire et les boxers, c'est une bénédiction céleste. Sa seule crainte est que la célébration de son anniversaire soit compromise par le début de la guerre avec les Japonais. Comparée à sa stature et à sa majesté, la deuxième génération est très effacée. La troisième génération, elle, est composée de trois frères. L'aîné, Ruixan, est un homme cultivé qui enseigne l'anglais et le chinois. Le plus jeune Ruisquan, est un étudiant plein d'idéal qui quittera Pékin pour rejoindre le maquis. L'autre frère, Ruifeng, est un garçon lâche, qui se laisse mener par sa femme et finira par collaborer avec l'ennemi. Par ses nombreux personnages, le roman trouve son unité dans la succession des différentes générations et dans la dimension historique qui vient menacer leur stabilité. Mais les " conflits ", qui sont au cœur de l'œuvre, n'opposent pas seulement entre eux les divers membres de la famille, ils opposent aussi le groupe familial à la patrie, et Pékin eu reste de la Chine. Ainsi Pékin devient-il le sujet principal du roman, à travers d'innombrables descriptions de la vie du peuple et de l'inépuisable beauté de la ville. Ecrit entre 1942 et 1944, Quatre générations sous un même toit est un roman-fleuve d'un réalisme tout à la fois original pour l'époque et une fresque incroyablement vivante, où Lao She dévoile les événements avec colère et passion.
Nationalité : Chine
Né(e) le : 03/02/1899
Mort(e) le : 24/08/1966
Biographie :
Né dans une famille mandchoue de la capitale, Lao She, pseudonyme littéraire de Shu Qingchun, a été dés son enfance, plongé dans une société en pleine évolution.
Après avoir enseigné pendant une vingtaine d ‘années, notamment en Angleterre, l’écrivain, à la suite du succès remporté par son fameux Pousse-pousse, a pu se consacrer entièrement à son œuvre.
Romancier et dramaturge, il écrit de nombreuses nouvelles reprises dans Gens de Pékin, dont est extrait Histoire de ma vie.
Lao She est l'un des tout premiers écrivains de sa génération. Doté d'une vive sensibilité tempérée par un exceptionnel sens de l'humour, Lao She s'est révélé un auteur de romans prolifique : le Fossé de la barbe du dragon (1951), qui lui vaut le titre d'«artiste du peuple», et un roman autobiographique inachevé, l'Enfant du Nouvel An (commencé en 1961).
Entre 1946 et 1949, Lao She obtint une bourse du département d'état et alla vivre aux États-Unis. Il revint en Chine quand la République Populaire de Chine fut établie. Membre du comité éducatif et culturel du gouvernement, député au Congrès national populaire, il fut un personnage influent dans le domaine des arts et des lettres , défendant le système anti-impérialiste.
Mais quand la Révolution culturelle éclata, il fut publiquement dénoncé et critiqué comme beaucoup d'autres intellectuels. Il est persécuté physiquement et psychologiquement. On a prétendu qu'il s'était jeté dans le lac Tai Ping (太平湖, lac de la Grande Paix) le 24 août 1966 tant il était désespéré. Cette affirmation est contestée.
Il a été solennellement réhabilité en 1978.
Le prix littéraire Lao She, l'un des plus prestigieux de Chine, récompense des œuvres pékinoises.
Mots clefs :
Langue : Français
She, Lao
Publié en 1982
Gallimard
Livre
Fiction
Roman
L'un des principaux romanciers de sa génération, Lao She est aussi un admirable auteur de nouvelles et de récits. A travers les personnages très divers que l'auteur met en scène, c'est toute la vie pékinoise, à la fin de l'Empire et dans les premières années de la République, qui resurgit. Les prostituées y côtoient les amateurs d'opéra et les agents de police ; les bandits y font bon ménage avec les honnêtes gens, les simples artisans avec les petits commerçants. De ce monde, qui a aujourd'hui presque totalement disparu, l'auteur a su retenir le meilleur : une vie où la tragédie n'exclut à aucun moment l'humour.
Nationalité : Chine
Né(e) le : 03/02/1899
Mort(e) le : 24/08/1966
Biographie :
Né dans une famille mandchoue de la capitale, Lao She, pseudonyme littéraire de Shu Qingchun, a été dés son enfance, plongé dans une société en pleine évolution.
Après avoir enseigné pendant une vingtaine d ‘années, notamment en Angleterre, l’écrivain, à la suite du succès remporté par son fameux Pousse-pousse, a pu se consacrer entièrement à son œuvre.
Romancier et dramaturge, il écrit de nombreuses nouvelles reprises dans Gens de Pékin, dont est extrait Histoire de ma vie.
Lao She est l'un des tout premiers écrivains de sa génération. Doté d'une vive sensibilité tempérée par un exceptionnel sens de l'humour, Lao She s'est révélé un auteur de romans prolifique : le Fossé de la barbe du dragon (1951), qui lui vaut le titre d'«artiste du peuple», et un roman autobiographique inachevé, l'Enfant du Nouvel An (commencé en 1961).
Entre 1946 et 1949, Lao She obtint une bourse du département d'état et alla vivre aux États-Unis. Il revint en Chine quand la République Populaire de Chine fut établie. Membre du comité éducatif et culturel du gouvernement, député au Congrès national populaire, il fut un personnage influent dans le domaine des arts et des lettres , défendant le système anti-impérialiste.
Mais quand la Révolution culturelle éclata, il fut publiquement dénoncé et critiqué comme beaucoup d'autres intellectuels. Il est persécuté physiquement et psychologiquement. On a prétendu qu'il s'était jeté dans le lac Tai Ping (太平湖, lac de la Grande Paix) le 24 août 1966 tant il était désespéré. Cette affirmation est contestée.
Il a été solennellement réhabilité en 1978.
Le prix littéraire Lao She, l'un des plus prestigieux de Chine, récompense des œuvres pékinoises.
Mots clefs :
Langue : Français
Sheedan, Neil
Publié en 1990
Seuil
Livre
Fiction
Roman
Impossible de passer à côté de ce livre si l'histoire du Vietnam nous intéresse, principalement la guerre du Vietnam lors de la présence américaine. Écrit sur une période de 16 ans par le journaliste Neil Sheehan, ce livre a reçu le « National Book Award » en 1988 et le prix Pulitzer en 1989. Personnellement, je n'arrive pas à m'attacher au personnage principal (le soldat américain John Paul Vann) de ce livre. Mais à travers son expérience on sort convaincu que cette guerre était absurde et que les États-Unis ne l'auraient de toute façon jamais gagnée. Lorsque les Américains s'engagèrent dans cette guerre (sans doute la plus cruelle du siècle dernier), les responsables des forces armées étaient atteint de ce que l'auteur appelle « le syndrome du vainqueur ». Après leur victoire contre les Allemands et les Japonais, l'armée américaine et toute la bureaucratie civile, l'élite politique, universitaire, le monde des affaires… tous étaient convaincus que rien ne pouvaient leur résister, qu'ils étaient investis d'une mission consistant à rétablir le droit et la justice sur toute la surface de la terre. Malheureusement, justice, droit et liberté ont été synonymes de violence, d'oppression et de cruauté. On apprend par exemple que dans une certaine circonstance le Général Depuy (commandant de la 1ère division d'infanterie) aurait dit : « La solution au Vietnam, c'est plus de bombes, plus d'’obus, plus de napalm, jusqu'à ce que l'autre craque et abandonne ». Nous lisons également avec stupeur que le chef de la République Vietnamienne Ngô ?ình ?iêm (président de 1954 jusqu’à son assassinat en 1963) avait placé son frère Ngô ?ình Nhu comme chef de son parti politique. Il faut savoir que Ngô ?ình Nhu était un opiomane reconnu et un fervent admirateur d'Hitler et de Lénine.
Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 27/10/1936
Biographie :
Neil Sheehan a été élevé dans une ferme du Massachussetts. Il est diplômé de Harvard University. Il a servi dans l'armée américaine de 1959 à 1962. Il a couvert la guerre du Vietnam au bureau de Tokyo de United Press International.
En 1964 il a été engagé au New York Times, travaillant quelque temps à New York puis retournant en Indonésie et au Vietnam. Il a rendu compte de la guerre au Vietnam comme d'une guerre de libération nationale, version qui déplaisait au Pentagone et au Département d'Etat.
Il a obtenu le prix Pulitzer (non-fiction) pour A Bright Shining Lie, un livre sur la vie du Lieutenant Colonel John Paul Vann. Il a mis 16 ans pour écrire ce livre qui retrace le parcours de John Paul Vann. Arrivé au Vietnam en 62, c'est un modèle d'officier à la personnalité compliquée, un meneur d'homme qui échappe toujours à la mort. Trois ans après il démissionne. Il y retourne comme conseiller de pacification, mais l'homme de guerre est le plus fort. Il mourra aux commandes de son hélicoptère aux derniers mois d'une guerre considérée comme une affaire personnelle.
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 2002
Gallimard
Livre
Fiction
Roman
Partir, fuir sa triste banlieue, la grisaille... Sébastien a dix ans et la leucémie menace sa vie. Malgré l'amour de sa mère, il n'a qu'une obsession : rejoindre dans le Lot ses grands-parents qui sauront éloigner de lui la peur et la mort. Il est sûr qu'au cœur de cette campagne qu'il aime tant, il pourra puiser l'énergie pour lutter contre la terrible maladie qui l'affaiblit chaque jour davantage. Dans la petite ferme familiale, Sébastien oscille entre les périodes de découragement et le plaisir des joies simples, dans l'enchantement toujours renouvelé de la nature et de ses secrets. Son grand-père ne lui a-t-il pas raconté que l'hellébore, éphémère " rose de Noël " qui fleurit sous la neige, possède des pouvoirs magiques qui pourraient lui apporter la guérison tant espérée ? Jamais peut-être l'immense conteur qu'est Christian Signol n'avait su nous toucher au cœur avec une telle justesse. Vous n'êtes pas près d'oublier Sébastien, petit bonhomme têtu et stoïque, cheminant main dans la main avec ses grands-parents, découvrant la force et le courage de ces campagnes qui, elles aussi, se battent, pour ne pas mourir et préserver une certaine idée du bonheur.
Nationalité : France
Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947
Biographie :
Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance.
Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature.
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 1997
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
Au Solail, grand domaine voisin de Sainte-Colombe, les blessures de la Grande Guerre ne sont pas encore cicatrisées en cette année 1930. Ni chez les Barthélémie, ni chez les Barthès, leurs métayers. Déjà, les effets d'une nouvelle crise économique frappent les vignerons. Charlotte Barthélémie lutte de toutes ses forces pour sauver sa terre. Justin Barthès pour faire triompher ses idées de progrès social. Opposés dans un combat superbe, ils se reconnaissent comme deux êtres d'exception. Justin, devenu maire de Sainte-Colombe, verra triompher ses idées avec le Front populaire et continuera son combat dans la Résistance alors qu'au Solail, où Charlotte vieillit, on accueillera plutôt favorablement l'occupant. De ces déchirements vont surgir un nouveau monde et une génération différente. Certains partiront pour la ville. D'autres, retenus par la passion d'une terre qui les envoûte, resteront : la vigne demeure, éternelle, sous le soleil du Languedoc. Cette saga lumineuse, où brûlent les passions et vient se briser la grande Histoire des hommes, fait suite aux Vignes de Sainte-Colombe. Chacun y reconnaîtra une part de son passé, y retrouvera la nostalgie d'un monde rude mais indemne où les hommes peuvent encore vivre dans la lumière des collines.
Nationalité : France
Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947
Biographie :
Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance.
Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature.
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 1994
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Christian Signol n'a jamais vraiment quitté le terroir de son enfance, même si, à onze ans, il dut entrer au lycée, en ville. Il retrouve ici les chemins qui mènent au village de cette enfance dans le Quercy. Il ressucite les figures familiales et familières, les saisons et les jours, les jeux et les apprentissages, les moissons et les fenaisons - toute la vie d'une campagne française avant les bouleversements des "Trente Glorieuses"...
Nationalité : France
Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947
Biographie :
Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance.
Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature.
Il fait des études de lettres et de droit (1965-1970). Christian Signol se marie en 1970, il devient père et s'installe avec sa famille à Brive-la-Gaillarde où il a été recruté comme rédacteur administratif à la mairie. Il sera par la suite directeur d’un service de Contentieux et Marchés publics. Il débute sa carrière d'écrivain en 1984 avec le roman Les Cailloux bleus, tome 1, qui remporte un grand succès. Il a longtemps tenu une chronique hebdomadaire dans Le Populaire du Centre, quotidien régional limousin. En 1990 il publie la trilogie romanesque La Rivière Espérance. La notoriété de l'écrivain se consolide et il devient l'un des auteurs français les plus lus. Ce triptyque est adapté pour le petit écran, en 1995, par Gaumont télévision, avec à la réalisation, Josée Dayan. La Rivière Espérance est diffusée sur France 2, en neuf épisodes de 1h40, et dans vingt pays étrangers. Le succès est immense et incontestable, il encourage d'autres adaptations : La promesse des sources sous le titre La Clé des champs (1998), L’enfant des Terres blondes (1999).
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 1996
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
Lorsque, à la veille de la guerre de 1870, meurt Charles Barthélémie, maître du Solail, deux de ses enfants, Léonce et Charlotte, s'affrontent pour diriger le domaine : des hectares de vigne mûrissant dans la lumière du Midi. Mais au-delà des rivalités familiales, les drames de la nature et de l'histoire vont se conjuguer pour faire du destin de Charlotte, généreuse, impétueuse, passionnée, une suite de combats sans merci : ravages du phylloxéra, grande crise de 1907 où l'effondrement des cours et la révolte des vignerons manqueront de ruiner le Soleil... Plus tard, face à l'épreuve de la guerre, Charlotte, enfin maîtresse du domaine, donnera toute sa mesure, réussissant à lui rendre sa splendeur passée. Amours heureuses ou contrariées, choc des caractères, ambitions, passions, drames et bonheurs, tout contribue à faire de ce roman, où s'entrecroisent les destins de dizaines de personnages, une somptueuse saga. Mais c'est la terre, chaude et vivante, immémoriale, les senteurs de la garrigue et la lumière du Midi qui enveloppent ce roman de leur présence sensible, envoûtante, par la magie du conteur hors pair qu'est Christian Signol.
Nationalité : France
Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947
Biographie :
Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance.
Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature.
Il fait des études de lettres et de droit (1965-1970). Christian Signol se marie en 1970, il devient père et s'installe avec sa famille à Brive-la-Gaillarde où il a été recruté comme rédacteur administratif à la mairie. Il sera par la suite directeur d’un service de Contentieux et Marchés publics. Il débute sa carrière d'écrivain en 1984 avec le roman Les Cailloux bleus, tome 1, qui remporte un grand succès. Il a longtemps tenu une chronique hebdomadaire dans Le Populaire du Centre, quotidien régional limousin. En 1990 il publie la trilogie romanesque La Rivière Espérance. La notoriété de l'écrivain se consolide et il devient l'un des auteurs français les plus lus. Ce triptyque est adapté pour le petit écran, en 1995, par Gaumont télévision, avec à la réalisation, Josée Dayan. La Rivière Espérance est diffusée sur France 2, en neuf épisodes de 1h40, et dans vingt pays étrangers. Le succès est immense et incontestable, il encourage d'autres adaptations : La promesse des sources sous le titre La Clé des champs (1998), L’enfant des Terres blondes (1999).
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 2020
Albin Michel
Livre
Fiction
Roman
« Être au plus près de la nature entretient l'espoir et redonne vie.» Dans la campagne berrichonne, Ambroise est garde d'un parc naturel, devenu le paradis des oiseaux. C'est un homme simple et amoureux de la faune, qu'il protège grâce à sa connaissance immémoriale de la nature. Mais Ambroise est accablé par la disparition de son fils, Vincent, parti au Canada dix ans plus tôt. Récit d'une renaissance, ode à la beauté et au mystère du monde, le nouveau roman de Christian Signol convoque des thèmes chers à l'auteur d'une oeuvre qui célèbre la nature et dénonce le danger qui la menace. Sur la terre comme au ciel est l'histoire poignante d'un père et d'un fils séparés par le destin. L'un n'a jamais quitté la terre qui l'a vu naître, cet univers immuable auquel il est viscéralement attaché et dont il connaît les moindres secrets. L'autre, poussé comme un oiseau migrateur vers un ailleurs plein de promesses, est parti au Canada à la découverte des grands espaces et n'a plus donné de nouvelles depuis dix ans. Jusqu'au drame qui, peut-être, les ramènera l'un vers l'autre. Christian Signol a ce talent pour évoquer l'immensité du ciel, les étés flamboyants et les aubes limpides. Des étangs du Touvois aux grands espaces du Nord québécois, ce récit pudique est un hymne au pouvoir consolateur d'une nature
Nationalité : France
Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947
Biographie :
Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance.
Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature.
Il fait des études de lettres et de droit (1965-1970). Christian Signol se marie en 1970, il devient père et s'installe avec sa famille à Brive-la-Gaillarde où il a été recruté comme rédacteur administratif à la mairie. Il sera par la suite directeur d’un service de Contentieux et Marchés publics. Il débute sa carrière d'écrivain en 1984 avec le roman Les Cailloux bleus, tome 1, qui remporte un grand succès. Il a longtemps tenu une chronique hebdomadaire dans Le Populaire du Centre, quotidien régional limousin. En 1990 il publie la trilogie romanesque La Rivière Espérance.
La notoriété de l'écrivain se consolide et il devient l'un des auteurs français les plus lus. Ce triptyque est adapté pour le petit écran, en 1995, par Gaumont télévision, avec à la réalisation, Josée Dayan. La Rivière Espérance est diffusée sur France 2, en neuf épisodes de 1h40, et dans vingt pays étrangers. Le succès est immense et incontestable, il encourage d'autres adaptations : La promesse des sources sous le titre La Clé des champs (1998), L’enfant des Terres blondes (1999).
Il fera partie de l'école de Brive dès 1984.
Ses livres sont aujourd'hui traduits dans 15 langues.
Mots clefs :
Langue : Français
Sillitoe, Alan
Publié en 1987
Livre
Fiction
Roman
Voici une date dans l'histoire du roman anglais : Alan Sillitoe décrit l'évolution contemporaine de la classe ouvrière anglaise comme un changement important de la condition de l'homme d'aujourd'hui. Son héros Arthur Seaton a le même âge que lui, c'est un véritable a angry young man ». Mais son instinct de révolte n'a déjà plus d'objet : il a de l'argent, la télévision et une série de com-plets dans son armoire. Samedi soir, dimanche matin démêle avec une grande intelligence la part du réalisme du siècle dernier et celle d'un nouvel anarchisme moderne. Il suggère que bien des valeurs littéraires reconnues ne sont que des attitudes de classe, et par là même, il fait don au roman de terres encore inexploitées.
Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Nottingham , le 04/03/1928
Mort(e) à : Londres , le 25/04/2010
Biographie :
Alan Sillitoe est un écrivain britannique, l'un des "Angry Young Men" (jeunes hommes en colère) des années 1950.
Né dans une famille ouvrière de Nottingham, ville qui lui fournira maints décors, il quitte l'école à quatorze ans pour entrer à l'usine.
En 1946, il s'engagea dans la Royal Air Force, et fut posté en Malaisie péninsulaire où il contracta la tuberculose. C'est durant son hospitalisation, que se développa chez lui le goût de la lecture et de l'écriture, qu'il devait conserver après avoir quitté l'armée en 1949.
C'est en 1955 à Majorque, en Espagne, où il vivait avec sa compagne, la poétesse américaine Ruth Fainlight, et au contact du poète Robert Graves, que Sillitoe commença à travailler à "Samedi soir, dimanche matin" (Saturday Night and Sunday Morning), qui fut publié en 1958. En partie influencé par la prose désarticulée d'Ernest Hemingway, le livre relate les états d'esprit et la condition d'un jeune ouvrier d'usine qui voit inévitablement se terminer son flirt de jeunesse. Le roman fut adapté au cinéma en 1960 par Karel Reisz, avec Albert Finney dans le rôle d'Arthur Seaton.
Il a épousé Ruth Fainlight en 1959. Ils ont eu deux enfants, un fils et une fille adoptive.
Sa nouvelle "La Solitude du coureur de fond" (The Loneliness of the Long Distance Runner, 1959), qui a pour sujet la rébellion d’un jeune délinquant doué pour la course à pieds, lui valut de recevoir le prix Hawthornden en 1959. En 1962, elle fut également adaptée au grand écran sous le même titre, cette fois-ci par Tony Richardson, avec Tom Courtenay dans le rôle principal.
En 1965, son nom a figuré parmi les candidats au prix Nobel de littérature.
En 1990, on lui attribua le titre de docteur honoris causa de la Nottingham Trent University. L’université de Nottingham, la plus ancienne et prestigieuse de la ville, appartenant au Russell Group, décerna également à Sillitoe à titre honorifique un titre de docteur en lettres en 1994, et en 2006 sa pièce de théâtre la plus connue fut montée au Lakeside Arts theatre de l’université dans une version inédite.
Sillitoe a écrit beaucoup d’autres romans et plusieurs volumes de poésie. Son autobiographie de 1995, "Life Without Armour", reçut un accueil critique élogieux au moment de sa parution et donne un regard sur son enfance misérable.
En 2007, il publia "Gadfly in Russia", un compte-rendu des voyages qu’il fit régulièrement en Russie, sur une période de 40 ans.
Mots clefs :
Langue : Français
Silone, Ignazio
Publié en 1995
Grasset
Livre
Fiction
Roman
Dans les années vingt, les pauvres paysans ({cafoni}) de Fontamara, village des Abruzzes, signent une pétition sans comprendre qu'il s'agit de détourner le cours du ruisseau du village, pour permettre au podestat d'irriguer ses terres... Un homme mène la résistance, les pousse à la rébellion. Mais les {cafoni}, une nouvelle fois, seront massacrés. Face à l'oppression, Silone pose la question cruciale de Lénine: Que faire?"
Nationalité : Italie
Né(e) à : Pescina , le 1/05/1900
Mort(e) à : Genève , le 22/08/1978
Biographie :
Ignazio Silone, pseudonyme de Secondo Tranquilli (né le 1er mai 1900 à Pescina, dans les Abruzzes - mort le 22 août 1978 à Genève, Suisse), est un homme politique et un écrivain italien du XXe siècle.
Ignazio Silone perd une grande partie de sa famille dans le tremblement de terre d'Avezzano en 1915. Il adhère aux Jeunesses socialistes italiennes et en devient le chef. Il dirige le journal du Parti socialiste italien (PSI), Il Lavoratore, à Trieste, dont le siège social est incendié par les fascistes en octobre 1920.
Il adhère ensuite au Parti communiste italien (PCI) en 1921, dont il deviendra l'un des dirigeants dans la clandestinité. Il quitte l'Italie en 1928 pour des missions en URSS, s'installe en Suisse en 1930, où il s'oppose à Staline et prend position pour Trotski et Zinoviev. Il est alors exclu du Parti communiste. Il publie son premier roman, Fontamara. Il ne pourra regagner l'Italie qu'en 1945, où il est élu député (socialiste). Il renonce à la politique, puis crée la revue Tempo. Il a pris part aux activités du Congrès pour la liberté de la culture.
Recemment, les historiens Mauro Canali et Dario Biocca ont soutenu, à la lumière de documents retrouvés dans les archives fascistes, la thèse d'une activité d'espionnage au profit de la police de l'Italie fasciste. Ce double jeu d'un grand dirigeant du parti communiste aurait provoqué chez lui une grosse dépression, due aussi à la mort de son frère dans les prisons fasciste, et une crise de conscience qui l'ont poussé à abandonner son activité d'espionnage et ses responsabilités politiques, pour uniquement se dédier à son activité littéraire. Giuseppe Tamburrano a quant à lui toujours proclamé l'innocence d'Ignazo Silone.
Mots clefs :
Langue : Français