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Queffélec, Yann
Publié en 1990
Julliard
Livre
Fiction
Roman
En apparence, Francis Pavin a tout pour être heureux. Chaque soir, il triomphe au théâtre avant de rentrer retrouver une petite fille adorable et une épouse aimante dans la chaleur de leur foyer. Lui seul connaît l'envers du décor. Lui seul sait ce que dissimule ce bonheur trop parfait. Jadis, il a aimé une autre femme. Il a eu une autre vie... Il suffira de presque rien, d'une photo mystérieusement ressurgie du passé pour que ressuscitent les anciens drames. Torturé par le remords, combien de temps le drôle, le brillant Francis réussira-t-il à jouer encore son propre rôle ?
Nationalité : France Né(e) à : Paris , le 4/09/1949 Biographie : Yann Queffélec, de son vrai prénom Jean-Marie Queffélec, est un écrivain français. Il est le fils de l'écrivain breton Henri Queffélec et le frère de la pianiste Anne Queffélec ; il a été marié à la pianiste Brigitte Engerer, avec qui il a eu une fille. Bien qu'il vive encore à Paris, il a gardé de fortes attaches en Bretagne notamment à l’Aber-Ildut. Amoureux de la mer et de sa Bretagne il fut stagiaire dès 1962 puis moniteur à la célèbre école de voile Jeunesse et Marine et il a pu naviguer avec Éric Tabarly. Il entame sa carrière d'écrivain en éditant à 32 ans une biographie de Béla Bartók. Quatre ans plus tard, il reçoit le prix Goncourt pour son roman "Les noces barbares". Il est l'auteur de nombreux romans et d'un recueil de poèmes. Il y décrit des personnages passionnés en mal d'amour. Il écrit aussi des paroles de chansons, notamment pour Pierre Bachelet. En 1998, il anime sur internet la création d'un roman interactif Trente jours à tuer. Il reçoit le Prix des Hussards (2016) pour "L'homme de ma vie". Il a été chroniqueur pour l'émission de France 2 : "Pourquoi les manchots n'ont-ils pas froid aux pieds ?".
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Langue : Français
Steel, Danielle
Publié en 1990
Presses de la Cité
Livre
Fiction
Roman
Saint-Pétersbourg, Paris, New York : de la Russie des tsars à nos jours, Zoya a tout vécu dans ce siècle de tous les bouleversements, la révolution d'octobre, la fièvre des années folles et la grande dépression de 1930, la Seconde Guerre mondiale avec son cortège d'horreurs et d'héroïsme. Les décennies de la paix, enfin, non sans soubresauts aussi brutaux qu'inattendus. Son destin l'a faite témoin et acteur en même temps. Et c'est une vie tumultueuse, passionnée, exemplaire que nous raconte ici, avec son merveilleux talent, l'auteur des best-sellers La Fin de l'été, La Maison des jours heureux, Loving, La Belle Vie...
Nationalité : États-Unis Né(e) à : New York City , le 14/08/1947 Biographie : Danielle Steel naît à New York City , mais passe une grande partie de sa jeunesse en Europe. Issue d'une famille aisée, elle reçoit une éducation « à la française ». De retour aux États-Unis à 17 ans, elle achève ses études et commence à travailler dans la publicité et les relations publiques. Dans le même temps elle écrit son premier roman, publié alors qu'elle n'a que dix-neuf ans. Elle commence plutôt modestement sa carrière d'écrivain, avec des séries jeunesse telles que Max et Martha ou Freddie, ainsi que quelques recueils de poésie. Elle devient la Danielle Steel mondialement célèbre lorsqu'elle se lance dans l'écriture à un rythme rarement atteint de gros volumes dont la trame mélange démêlés sentimentaux, bouleversements historiques et drames psychologiques. Si ses personnages courent tous après le grand amour, elle a pourtant déjà été mariée cinq fois. Parallèlement à sa carrière d'écrivain, Danielle Steel a créé deux fondations au profit des enfants abusés, des malades et des sans-abris. Avec 560 millions d'exemplaires de ses 71 livres vendus dans le monde en 38 langues, 22 adaptations ayant donné des téléfilms à succès, une image reconnaissable avec ses couvertures ornées d'un lettrage doré, Danielle Steel est une marque très rentable. Exploitant le riche filon de son image, elle crée en octobre 2006 le parfum Danielle by Danielle Steel, développé et commercialisé par Elizabeth Arden. Le seul écrivain à avoir un fan-club en France figure au Guinness Book des records depuis 1989, pour avoir figuré avec au moins un titre dans la liste des best-sellers du New York Times pendant 381 semaines. Danielle Steel, auteur entre beaucoup d'autres des Promesses de la passion ou Au nom du cœur, a été élue l'une des « dix femmes les plus influentes au monde » en 1981 par une université américaine, et est Chevalier des Arts et des Lettres en France depuis 2002.
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Langue : Français
Bailly, Othilie
Publié en 1989
Editions du rocher
Livre
Fiction
Roman
" Immobile, aveugle, sourde, muette, mais si présente partout. La Peur intense, gluante, tapie comme un animal malfaisant. La Peur noire. Champignon. Serpent. Vénéneuse. Venimeuse. Petit Jean est recroquevillé, mouche dans la toile, attendant que son cur s'arrête de battre. " Enfermé dans le noir parce que Petit Jean a fait pipi au lit. Un papa qui n'est pas son papa et qui hurle. Maman a cédé, a puni. Une heure dans le fond du placard, dans le noir, dans la peur. Une heure qui va durer des jours, des semaines, puis des mois. Dans le silence et l'effroi. Avec sobriété, Othilie Bailly raconte l'horreur vécue par cet enfant nié jour après jour, jusqu'à l'extrême limite, jusqu'à l'extrême douleur, mais aussi jusqu'à la délivrance, parce qu'il y a quand même encore quelqu'un pour l'aimer.
Nationalité : États-Unis Mort(e) : 2003 Biographie : Othilie Bailly était écrivain et psychologue, elle s'est inspirée de son métier de psychologue pour écrire de nombreux livres comme pour "L'enfant qui se laissait mourir", où elle raconte la vie d'une jeune fille qui devient anorexique. Son métier lui a appris certaines choses qu'elle a remis dans ses livres, comme l'anorexie, les maltraitances qu'un enfant peut recevoir. Elle était l'auteur de nombreux romans comme "L'enfant dans le placard", "L'enfant sacrifié", "J'ai 13 ans et je vais me tuer", "La reine de Jérusalem", . Beaucoup de ses livres ont été traduits dans divers pays y compris les États-Unis.
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Langue : Français
Giroud, Françoise
Publié en 1991
Fayard
Livre
Fiction
Roman
Le propos de Françoise Giroud est de payer ses dettes. A l'âge où l'on se dit : « Qu'ai-je fait de ma vie ? », on s'aperçoit que ce sont les Autres qui vous ont formé et parfois déformé, qu'on leur doit qui l'on est, pour le meilleur et pour le pire, qu'une existence, ce sont des rencontres avant d'être des événements. Une série de « leçons particulières » que l'on reçoit malgré soi. « Qui m'a donné quoi ? » Ainsi Françoise Giroud s'est-elle interrogée. « Qui m'a fourni des modèles et des contre-modèles, des enseignements et des contre-enseignements, qui m'a laissé son empreinte et quelquefois sa cicatrice; que m'a-t-on, donné, que m'a-t-on transmis que j'aimerais transmettre à mon tour selon la loi de la vie ? » Paradoxalement, ce livre tourné vers autrui, écrit à mi-voix est aussi le plus personnel des récits de Françoise Giroud, comme si elle s'autorisait, cette fois, l'émotion, le regret, la blessure. Quatrième de couverture - Du cinéma au journalisme et à la politique, de Jouvet à Mauriac, de JJSS à Giscard d'Estaing, de Pierre Lazareff à Jacques Lacan, Françoise Giroud a vu et connu beaucoup de grands personnages du demi-siècle. Mais ce qui fait le charme de ces Leçons particulières c'est qu'il ne s'agit nullement d'un livre de révélations, d'anecdotes ou d'indiscrétions.
Nationalité : France Né(e) à : Lausanne , le 21/09/1916 Mort(e) à : Neuilly-sur-Seine , le 19/01/2003 Biographie : Françoise Giroud, née Léa France Gourdji, est une journaliste, écrivaine et femme politique française. Née de parents turcs et juifs séfarades, elle devient un temps la secrétaire d'André Gide, puis commence une carrière dans le cinéma à Paris. Dès 1935, sous le nom de France Gourdji, elle apparaît au générique du film "Baccara" d'Yves Mirande. Puis elle devient la première femme scripte du cinéma français auprès de Marc Allégret, de Jean Renoir dont elle est l'assistante-metteur en scène à partir de 1937, puis de Jacques Becker dont elle est coscénariste puis scénariste sous le nom de Françoise Giroud. Lors de la Seconde Guerre mondiale, elle devient agent de liaison pour la Résistance, ce qui lui vaut d'être arrêtée par la Gestapo et incarcéré à Fresnes en 1944. En 1945, elle est engagée par Hélène Lazareff comme directrice de la rédaction du nouveau magazine "Elle". Elle le reste jusqu'en 1953, date à laquelle elle fonde "L'Express" avec son compagnon Jean-Jacques Servan-Schreiber. Elle le dirigera jusqu’en 1974 et ce, en tant que directrice de la rédaction, puis de la publication. Elle assure également le poste de présidente du groupe Express-Union, entre 1970 et 1974. Elle s'investit également dans la vie politique. Membre du parti radical socialiste, elle soutient Mendès-France puis Mitterrand. Elle devient secrétaire d'état à la condition féminine (1974-1976) puis à la culture (1977-1979) pour Giscard d'Estaing. Françoise Giroud quitte la scène politique en 1979 et se tourne définitivement vers l’écriture. Inspirée par les ors de la République, elle écrit "La Comédie du pouvoir" (1977) puis "Le Bon Plaisir" (1983), adapté au cinéma en 1984. En 1983, Jean Daniel lui propose d'être éditorialiste au "Nouvel Observateur" où elle écrit durant vingt ans des chroniques de télévision. Elle produit également plusieurs émissions de télévision et publie essais, biographies et romans à succès. Françoise Giroud est la mère de la pédopsychiatre et psychanalyste Caroline Eliacheff (1947), née de son mariage avec Anatole Eliacheff, producteur de cinéma.
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Langue : Français
Christine
Publié en 1990
Fayard
Livre
Fiction
Roman
Résumé : Placée toute jeune dans un foyer de la DASS, Christine va connaître un long calvaire marqué par l'absence d'amour. Viol, alcool, prostitution, mariage raté, enfant à charge, avortement, tentative de suicide... Elle raconte avec une cruelle franchise cet itinéraire d'une jeunesse en détresse jusqu'à la découverte d'un bonheur si longtemps recherché. Un témoignage pathétique, un cri de souffrance, de colère et d'espoir.
Nationalité : France Biographie : Placée toute jeune dans un foyer de la DASS, Christine va connaître un long calvaire marqué par l'absence d'amour. Viol, alcool, prostitution, mariage raté, enfant à charge, avortement, tentative de suicide... Dans son livre témoignage "Qui me jettera la première pierre ?", paru en 1990, elle raconte son parcours.
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Langue : Français
Rendell, Ruth
Publié en 1991
Calmann-Lévy
Livre
Fiction
Roman
Trois femmes occupent l'imagination de Philip : Rebecca, dont l'assassinat supposé passionne Londres . Il éprouve à son sujet une fascination pour la mort qui l'horrifie. Senta, rencontrée au mariage de sa soeur où elle était demoiselle d'honneur. Enfin une statue, représentant la déesse Flore : objet des fantasmes d'adolescent de Philip et propriété d'un personnage peu sympathique, elle ressemble extraordinairement à Senta, avec laquelle il vit une passion vénéneuse.Dans sa recherche du mystère de ces trois femmes, ce sont ses propres énigmes que Philip va peu à peu percer : la violence refoulée, l'inceste latent, '?obsession érotique et la pulsion meurtrière.Dans la parenté de Patricia Highsmith, un des chefs-d'oeuvre du roman de psychologie criminelle.
Nationalité : Royaume-Uni Né(e) à : South Woodford, Essex , le 17/02/1930 Mort(e) à : Londres , le 02/05/2015 Biographie : Ruth Barbara Rendell, née Ruth Barbara Grasemann, est une auteure de romans policiers et de romans psychologiques criminels. Elle a écrit également sous le pseudonyme de Barbara Vine. Née de parents enseignants, sa mère est une danoise, née en Suède. Après ses études à Loughton, Essex, elle travaille comme journaliste dans des journaux locaux, dont "Chigwell Times" (1948-1952). En 1950, elle épouse Don Rendell avec lequel elle a un fils né en 1953. Le couple divorce en 1975, puis se remarie en 1977. Don Rendell décède en 1999. Ruth Rendell écrit deux romans non publiés avant "Un amour importun" ("From Doon With Death"), un premier roman, paru en 1964, où apparaît son héros récurrent, le commissaire de police Reginald Wexford. Parallèlement à la série des Wexford (1964-2013), Ruth Rendell écrit de nombreux romans psychologiques criminels dans lesquels elle explore des sujets tels que les obsessions sexuelles, les effets des malentendus, le hasard et l’humanité des criminels dont "L'Analphabète" ("Judgment in Stone", 1977). Elle crée une troisième branche à son œuvre en publiant en 1986 "Vera va mourir" ("A Dark Adapted Eye") sous le pseudonyme de Barbara Vine. Les titres produits sous cette signature appartiennent au même territoire que ses romans psychologiques, tout en approfondissant des thèmes comme les malentendus familiaux et les effets secondaires des secrets et des crimes. Plusieurs de ses livres ont été adaptés à la télévision et au cinéma, notamment "L’Homme à la tortue" par Pedro Almodóvar ("En chair et en os", 1997), "L'Analphabète" ("La Cérémonie", 1995) et "La Demoiselle d'honneur" (2004) par Claude Chabrol, "Un enfant pour un autre" ("Betty Fisher et autres histoires", 2001) par Claude Miller, "La Maison du lys tigré" ("Valentin Valentin", 2014) par Pascal Thomas ainsi que "Une amie qui vous veut du bien" ("Une nouvelle amie", 2014) par François Ozon. Elle a obtenu deux fois le Prix Edgar-Allan-Poe: en 1984 de la meilleure nouvelle pour "Une amie qui vous veut du bien" ("The New Girlfriend") et en 1987 du meilleur roman pour "Vera va mourir" ("A Dark-Adapted Eye"). Elle est le seul auteur à avoir reçu deux fois le Golden Dagger Award (1976, 1986) la plus grande récompense accordée aux romans policiers anglais. Faite commandeur de l'ordre de l'Empire britannique en 1996 et baronne de Babergh, elle siège à ce titre à la Chambre des lords comme député du parti travailliste.
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Langue : Français
Higgins Clark, Mary
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Ronald Thompson doit mourir sur la chaise électrique. Témoin terrorisé, le petit Neil a affirmé, au cours du procès, le reconnaître comme le meurtrier de sa mère. Mais Ronald a toujours clamé son innocence. À quelques heures de la sentence, l'enfant est enlevé avec une jeune journaliste amie de son père, par un déséquilibré qui se fait appeler Renard. Il les séquestre dans la gare centrale de New York. Le kidnappeur menace de faire sauter une bombe au moment précis où le condamné sera exécuté. Existe-t-il un lien entre ces deux terribles faits divers ? Un innocent va-t-il payer pour le crime d'un autre ? Une course contre la montre s'est engagée... Ce roman a révélé les talents d'un véritable maître du suspense. L'intrigue est un délicieux cocktail, corsé d'angoisse et de cruauté, mené à un rythme tambour battant qui maintient la tension jusqu'à la dernière page. Personne n'en sort indemne, pas même le lecteur. Mary Higgins Clark a reçu pour ce best-seller international le Grand Prix de littérature policière 1980. Claude Mesplède.
Nationalité : États-Unis Né(e) à : New-York , le 24/12/1927 Biographie : Mary Higgins Clark est d'origine irlandaise. Orpheline de père à dix ans, elle arrête très jeune ses études pour exercer la profession de secrétaire, puis celle d'hôtesse de l'air. Elle épouse ensuite Warren Clark, se consacre à sa famille (cinq enfants) et commence l'écriture de nouvelles. Après de nombreux refus, une première nouvelle est publiée en 1956 par un magazine. A la mort de son mari, en 1964, elle devient rédactrice de scripts pour une radio... Parallèlement, elle continue à écrire. Son premier livre, une biographie de Georges Washington, est un échec. Elle décide alors de rédiger un roman à suspens : "La maison du guet" qui devient un best seller. En 1980, "La nuit du renard" obtient le Grand Prix du Roman Policier. Tout en s'occupant de ses enfants, l'écrivain reprend ses études (elle obtient un doctorat de philosophie) et publie un roman par an. Aujourd'hui, elle co-écrit des livres avec sa fille, Carol Higgins Clark.
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Langue : Français
Higgins Clark, Mary
Publié en 1994
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Voulant échapper au terrible secret de son passé, Nancy a changé de nom, d'apparence et de couleur de cheveux, avant de quitter la côte Ouest et de venir s'installer à Cape Cod où elle a épousé Ray Eldredge. Sept années de bonheur se sont écoulées. Ils ont deux beaux enfants, Michael et Missy. Puis, un matin, dans le journal régional paraît un article sur un procès pour meurtre qui a fait couler beaucoup d'encre en Californie et qu'illustre la photo d'une jeune femme ressemblant étrangement à Nancy. Le jour même, Michael et Missy disparaissent mystérieusement. Le passé et le présent deviennent alors inexorablement liés. Nancy a-t-elle perdu la tête à la lecture de l'article qui la replonge brutalement dans le passé ? C'est ce que redoute la police... La Maison du guet distille un suspense «en acier» et met en place un puzzle aussi pervers que passionnant, une action encore plus rebondissante que dans la fameuse Nuit du renard. Le récit est mené avec une habileté diabolique. Christine Arnothy, Le Parisien. Un frisson par page. Michel Grisolia, L'Express.
Nationalité : États-Unis Né(e) à : New-York , le 24/12/1927 Biographie : Mary Higgins Clark est d'origine irlandaise. Orpheline de père à dix ans, elle arrête très jeune ses études pour exercer la profession de secrétaire, puis celle d'hôtesse de l'air. Elle épouse ensuite Warren Clark, se consacre à sa famille (cinq enfants) et commence l'écriture de nouvelles. Après de nombreux refus, une première nouvelle est publiée en 1956 par un magazine. A la mort de son mari, en 1964, elle devient rédactrice de scripts pour une radio... Parallèlement, elle continue à écrire. Son premier livre, une biographie de Georges Washington, est un échec. Elle décide alors de rédiger un roman à suspens : "La maison du guet" qui devient un best seller. En 1980, "La nuit du renard" obtient le Grand Prix du Roman Policier. Tout en s'occupant de ses enfants, l'écrivain reprend ses études (elle obtient un doctorat de philosophie) et publie un roman par an. Aujourd'hui, elle co-écrit des livres avec sa fille, Carol Higgins Clark.
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Langue : Français