Votre sélection (2052 résultats trouvés) :
Résultats : 729 à 736 sur un total de 2052
Dussauze, Michel
Publié en 1993
Livre
Fiction
Roman
Un long récit poignant dans un compartiment de chemin de fer en 1954
Mots clefs :
Langue : Français
Couturier, Yves
Publié en 1993
Livre
Fiction
Roman
Nationalité : France Biographie : Yves Couturier, auteur des romans classés en littérature jeunesse mais que beaucoup d'adultes ont plaisir à découvrir et à lire. Livres de Y.Couturier: Lire les textes anciens (Geste 2005), L'autre (La Cabane Sur Le Chien 2005) et Rendez-vous de Toussaint (treizième et dernier roman actuellement paru , Gunten Eds 2007) .
Mots clefs :
Langue : Français
Mcgill, Gordon
Publié en 1993
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
"Tout semble indiquer que votre petit Jessie est la réincarnation du très saint Lama Dordjé " C'est la surprenante déclaration que des moines tibétains viennent faire à une famille sans histoire de Seatlle. Un enfant blond de 8 ans, fana de jeux électroniques ? Et bien justement, les moines reconnaissent là lhumour très particulier de leur vénérable maître... Mais pour en être tout à fait sûr, il faudrait que Jessie se rende dans une lamasserie du Bhoutan au cur de lHimalaya, celle-là même où a vécu Lama Dordjé...
Nationalité : États-Unis Né(e) : 1943 Biographie : Gordon McGill est un écrivain, auteur des novélisations.
Mots clefs :
Langue : Français
Signol, Christian
Publié en 1994
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Christian Signol n'a jamais vraiment quitté le terroir de son enfance, même si, à onze ans, il dut entrer au lycée, en ville. Il retrouve ici les chemins qui mènent au village de cette enfance dans le Quercy. Il ressucite les figures familiales et familières, les saisons et les jours, les jeux et les apprentissages, les moissons et les fenaisons - toute la vie d'une campagne française avant les bouleversements des "Trente Glorieuses"...
Nationalité : France Né(e) à : Quatre-Routes-du-Lot , 1947 Biographie : Christian Signol est un écrivain français notamment connu pour sa trilogie La Rivière Espérance. Il est né dans le Quercy, en 1947, dans la commune des Quatre-Routes-du-Lot, un petit village au pied du causse de Martel, qui restera son paysage favori et inspirera plus tard toute sa littérature. Il vit une enfance heureuse dominée par la présence féminine de sa mère et de sa grand-mère, bercée par la lumière des collines, les parfums de la campagne et les mystères sauvages de la nature. Il fait des études de lettres et de droit (1965-1970). Christian Signol se marie en 1970, il devient père et s'installe avec sa famille à Brive-la-Gaillarde où il a été recruté comme rédacteur administratif à la mairie. Il sera par la suite directeur d’un service de Contentieux et Marchés publics. Il débute sa carrière d'écrivain en 1984 avec le roman Les Cailloux bleus, tome 1, qui remporte un grand succès. Il a longtemps tenu une chronique hebdomadaire dans Le Populaire du Centre, quotidien régional limousin. En 1990 il publie la trilogie romanesque La Rivière Espérance. La notoriété de l'écrivain se consolide et il devient l'un des auteurs français les plus lus. Ce triptyque est adapté pour le petit écran, en 1995, par Gaumont télévision, avec à la réalisation, Josée Dayan. La Rivière Espérance est diffusée sur France 2, en neuf épisodes de 1h40, et dans vingt pays étrangers. Le succès est immense et incontestable, il encourage d'autres adaptations : La promesse des sources sous le titre La Clé des champs (1998), L’enfant des Terres blondes (1999).
Mots clefs :
Langue : Français
Peters, Ellis
Publié en 1994
France loisirs
Livre
Fiction
Roman
Septembre 1140. L'abbaye Saint-Pierre et Saint-Paul de Shrewsbury accueille un novice de 19 ans, Meriet, fils cadet du châtelain Leoric d'Aspley. Mais toutes les nuits, le jeune garçon pousse des hurlements provoqués par un cauchemar. Quelques semaines plus tard, le chanoine Eluard de Winchester se présente à l'abbaye. Il est à la recherche de Peter Clemente, ambassadeur du roi Étienne, qui a disparu après un bref passage au château d'Aspley. La vision du cheval de Clemente, ramené par le shérif, provoque chez Meriet une nouvelle crise la nuit suivante. Lorsqu'on découvre qu'il cache une mèche de cheveux entourée par un ruban, il subit le fouet et le cachot avant d'être rejeté de l'abbaye. Frère Cadfael est chargé d'annoncer cette décision au châtelain qui refuse de revoir son fils. Celui-ci est alors confié à frère Mark de l'hospice Saint-Gilles. Quelques semaines plus tard, Meriet découvre dans la forêt le cadavre de Clemente. On pense qu'il a été assassiné par un braconnier, mais le jeune garçon s'accuse du meurtre. Cadfael, qui le croit innocent, mène l'enquête Cette huitième aventure de frère Cadfael est aussi séduisante que les précédentes. Sur fond de complot contre le roi Étienne, Ellis Peters tisse une intrigue complexe que résoudra avec brio son personnage fétiche. Claude Mesplède
Nationalité : Royaume-Uni Né(e) à : Horsehay, Shropshire , le 28/09/1913 Mort(e) à : Shrewsbury, Shropshire , le 14/10/1995 Biographie : Edith Mary Pargeter est une romancière anglaise. Elle fit ses études à Dawley et ensuite à la Coalbrookedale High School for Girls. De 1933 à 1940, elle travailla comme assistance en pharmacie et c’est à cette période qu’elle entreprit déjà l’écriture de ses deux premiers romans. En 1940, elle entre au Women’s Royal Navy Service, les services de communication du Western Approaches Command. Après la guerre, le roi George VI lui remet la British Empire Medal. Elle s'intéresse au roman policier dès 1938 avec "Murder in the Dispensary", signé du pseudonyme de Joylon Carr, et "The Victim Needs a Nurse" (1940), sous celui de John Redfern. En 1951, dans "Pris au piège" (Fallen Into the Pit) elle crée l’inspecteur George Felse et signe une série de titres, sous le pseudonyme d'Ellis Peters. C’est grâce à la deuxième aventure policière de Felse, "Une mort joyeuse" (Death and the Joyful Woman, 1961) que viendra la célébrité ; Edith Pargeter remportera pour ce roman policier le prix Edgar Poe du meilleur roman, décerné par Mystery Writers of America en 1963. Dans les années 1960, elle donne une trilogie historique: "La pierre de vie" (1960), "Le rameau vert" (1962) et "La graine écarlate (1963) sous son véritable nom. S'inspirant de "L'histoire du Shropshire", rédigée au début du XIXe siècle, Ellis Peters publie "Trafic de reliques" (A Morbid Taste for Bones) en 1977, à l'age de 64 ans. Son héros, frère Cadfael est un moine bénédictin qui enquête dans l'Angleterre du 12ème siècle. Cadfael ap Meilyr ap Dafydd, de son vrai nom, entre dans les ordres sur le tard après avoir participé à la croisade au coté de Godefroi de Bouillon. Il occupe la fonction d'herboriste au sein de L'abbaye de Shrewsbury, à la frontière du pays Gallois. Ses aventures s'inscrivent dans un laps de temps relativement court, c'est-à-dire du printemps 1137 à l'été 1144. L'acteur britannique Derek Jacobi incarne le Frère Cadfael dans la série télévisée britannique "Cadfael" (1994-1998), en 13 épisodes. Spécialiste de la langue et de la littérature tchèques, Edith Pargeter en traduit, entre 1957 et 1970, plusieurs œuvres en anglais. Son pseudonyme - adopté pour bien marquer la séparation entre ces polars et le reste de son œuvre - est à la fois inspiré par le prénom de son frère (Ellis) et une amie tchèque (Petra).
Mots clefs :
Langue : Français
Hillerman, Tony
Publié en 1996
Rivages
Livre
Fiction
Roman
Quand une anthropologue notoire arrive dans les montagnes sacrées du pays Anasazi, elle est d'abord furieuse de découvrir que le site funéraire pré-navajo a été pillé ; puis elle est terrifiée par ce qui surgit de l'ombre. Des semaines plus tard, le lieutenant Joe Leaphorn, en examinant un rapport selon lequel l'anthropologue a dérobé de précieux objets, découvre aussi qu'elle a disparu. L'affaire prend un tour sinistre lorsque Jim Chee, à la recherche de matériel de fouilles disparu également, trouve autre chose de nettement plus macabre dans une fosse. Leaphorn et Chee devront unir leurs forces pour exhumer le passé et résoudre une longue série de meurtres, plus étranges les uns que les autres.
Nationalité : États-Unis Né(e) à : Sacred Heart (Oklahoma) , le 26 /05/i 1925 Mort(e) à : Albuquerque (Nouveau Mexique) , le 26/10/2008 Biographie : Fils d'un farmer il est le dernier de trois enfants. Il fait ses études dans une école de filles en raison d'une mesure exceptionnelle envers les enfants de farmer. Il finit ses études secondaires en 1942 et rejoins l'armée en 1943 pour combattre durant la Seconde Guerre Mondiale. Blessé il est décoré de la silver cross et du purple heart. Il est démobilisé en 1945. Il rejoint l'université d'Oklahoma dont il sort diplômé en 1948. La même année il se marie. Le couple aura six enfants. Il travaille comme journaliste de 1948 à 1962 pour différents journaux. Il obtient ensuite, une maîtrise en journalisme. Il deviendra enseignant dans cette matière de 1966 à 1987 à l'université d'Albuquerque . Son premier roman paraît en 1970. Ses romans se déroulent presque tous en territoire Navajo. Il est décédé d'un cancer.
Mots clefs :
Langue : Français
Zamiatine, Evguéni
Publié en 1990
Rivages
Livre
Fiction
Roman
Les nouvelles réunies dans le Pêcheur d'hommes, écrites entre 1918 et 1935, présentent un large éventail des thèmes de Zamiatine et de ses procédés littéraires : des petits hommes chers à Dostoïevski (que Zamiatine considère comme l'un de ses maîtres, l'autre étant naturellement Gogol) aux citoyens apeurés du Petrograd révolutionnaire ou au Londres mécanisé " Dmitri Savitski, Libération.
Nationalité : Russie Né(e) à : Lebedian , le 20/01/1884 Mort(e) à : Paris , le 10/03/1937 Biographie : Ievgueni Ivanovitch Zamiatine (russe : Евгений Иванович Замятин), Eugène Zamiatine ou Evgueni Zamiatine, est un écrivain russe, également ingénieur naval et professeur. Evgueni Zamiatine connaissait bien les œuvres de H. G. Wells. Son œuvre est constamment animée par une volonté hérétique qui lui vaudra les foudres de la censure des gouvernements tsariste, puis communiste. Son roman le plus connu, Nous autres, exprime sa déception à l'égard de la révolution d'Octobre. Ce roman de science-fiction est une « dystopie », ou contre-utopie ; il est souvent présenté comme la source d'inspiration du Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, de 1984 (1949) de George Orwell et d’Un bonheur insoutenable (1970) d'Ira Levin. Après des études d’ingénieur à l’Institut polytechnique de Saint-Pétersbourg, où il se spécialise dans la construction navale (et une très brève adhésion au parti bolchevique qui le mène en prison au moment de la révolution de 1905), il est envoyé en 1916 en Angleterre, à Newcastle, pour superviser la construction de brise-glace destinés à la Russie. Lorsqu’il revient en octobre 1917 à Petrograd, les sentiments ambivalents qu’il éprouve pour la révolution se transforment très vite en une condamnation pour le moins prophétique du totalitarisme à venir. La publication de nouvelles, puis en 1918, d’un court roman, lui avait valu l’estime d’écrivains comme Bielyï ou Gorki qui le protègera jusqu’à son exil en 1931. Dès les années vingt, en effet, l’essentiel de son œuvre ne sera plus édité en URSS. Un roman intitulé Nous autres, qui paraît en anglais en 1924, le fait vite classer avec Pilniak parmi les intellectuels indésirables du régime. Son indépendance et son refus de soumettre l’art à la politique lui attirent des inimitiés, des tracasseries administratives, des interdits de la censure. La presse le dénonce comme traître en 1929 et il quitte l’URSS avec sa femme en novembre 1931 pour aller vivre à Paris, où il mourra six ans plus tard. En 1935, il adaptera les "Bas Fonds " Gorki pour le film de Jean Renoir.
Mots clefs :
Langue : Français
Mkrtitch, Armen
Publié en 1994
Livre
Fiction
Roman
Roman, en forme de fable, décrivant l'angoisse superstitieuse d'une communauté villageoise arménienne devant l'adultère Avant de mourir dans sa ville de Dzoghi Boghaz (Arménie soviétique), Maître Mkrtitch a construit une fontaine sur la tombe de sa propre femme, la belle Héghnar qui lui fut infidèle. Et cest pour rappeler à tous Arméniens catholiques, Turcs musulmans, Grecs orthodoxes la justice de Dieu et la honte d'Héghnar, qu'il a gravé sur la stèle cet avertissement : « L'épouse nest source que pour son mari. Nul autre ne peut sy abreuver. » Or, la fontaine dHéghnar est réputée miraculeuse : sitôt quon sen approche, elle se tarit Légende ? Conte ? Parabole ? Oui, ce texte est tout cela, mais dans les inflexions orientales du récit, dans la transparence de ses eaux, il faut surtout le prendre comme un roman de passion. Un roman écrit en 1933, publié en 1935, a été accusé de formalisme par la critique soviétique. Il a été porté à l'écran en 1971 et traduit en français par Lily Denis en 1993.
Nationalité : Arménie Né(e) à : leninakan , le 14/12/1906 Mort(e) à : erevan , 1972 Biographie : Né en 1906 à Alexandropol (aujourd'hui Gumri), sous le nom de Mekertitch Haroutiounian, Mkrtitch Armen est un fils d’artisans. Il a fait de sérieuses études, s’intégra à de nombreux groupes littéraires, avant de poursuivre sa formation à l’Institut de Cinématographie (Moscou). Auteur de romans et de contes, il connut une grande notoriété, en Arménie et jusque dans les milieux lettrés de l’ancien bloc soviétique. La Fontaine d’Héghnar, son chef-d’œuvre, parut en 1935. Il poursuit son œuvre avec des romans réalistes qui ont moins de force. Déporté en Sibérie à la fin des années 1930, puis réhabilité, il a publié un témoignage sur la vie des camps (On m'a recommandé de témoignager, 1964). Mkrtitch Armen est mort en 1972 à Erevan.
Mots clefs :
Langue : Français