1687 documents

Filtrer la recherche

Support

Revues, magazines Revues, magazines Multimédia

Nature

Fictions Fictions

Résultats de recherche

Résultats : 1621 à 1632 sur un total de 1687

Recherche fulltext pour les titres et les mots clefs :
Recherche fulltext sans les stopwords pour les résumés et les auteurs :

Liste des stopwords pour la recherche de documents

1621/1687

Parce que les fleurs sont blanches : roman
Localiser le document

R ANT

Parce que les fleurs sont blanches : roman

Antoine, Françoise / Bakker, Gerbrand

Publié en 2025
1 vol. (211 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Gerard élève seul ses trois garçons depuis que leur mère les a quittés sans laisser d'adresse, se contentant d'envoyer des cartes postales depuis l'Italie pour les anniversaires et Noël. Klaas et Kees, les jumeaux de seize ans et leur petit frère Gerson – sans oublier le chien, Daan – vivent néanmoins dans une maisonnée plutôt joyeuse où Gerard s'efforce de faire bonne figure.Un dimanche matin ordinaire où ils sont invités chez les grands-parents, leur vie bascule. Sur une route de campagne traversant des vergers où fleurissent des arbres fruitiers, une voiture s'encastre dans celle de Gerard, le choc est violent. Si les jumeaux et le père s'en tirent avec des blessures légères, il en sera tout autrement pour Gerson. Il est plongé dans le coma et au réveil, il comprend qu'il a perdu la vue. Aidé par Harald, infirmier dévoué, l'adolescent tente d'apprivoiser sa nouvelle vie, alors que les jumeaux et leur père essaient également de faire face, mais le retour à la maison est douloureux malgré le soutien de Jan et Anna, les grands-parents des enfants. Gerson s'enferme dans sa douleur et sa colère, refuse d'accepter toute aide et de se projeter dans un quelconque avenir. Plus personne ne sait comment le soutenir. Gerard presse son fils de prendre des décisions quant à son futur, sans résultat. Lorsque l'été arrive, tous savent que les choses ne pourront pas continuer ainsi  à la rentrée.  Le séjour prévu dans la paisible maison des grands-parents au bord d'un lac apparaît alors à tous comme la possibilité d'un nouveau départ…Gerbrand Bakker est un maître incontesté dans l'art de saisir l'essentiel avec peu de mots. Son écriture impressionne par sa concision, sa justesse et surtout, par l'absence absolue de tout pathos. Racontée pour l'essentiel par ses frères, l'histoire de ce jeune garçon qui ne parvient pas à accepter de vivre dans le noir n'en devient que plus déchirante.Traduit du néerlandais par Françoise Antoine

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-246-82107-6

EAN : 9782246821076

1622/1687

Le Lys dans la vallée
Localiser le document

R BAL

Le Lys dans la vallée

Balzac, Honoré de

Publié en 1902 E. Flammarion
315 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Le Lys dans la vallée est l’histoire de l’amour intense et platonique entre Félix de Vandenesse, cadet d’une famille aristocratique, et la comtesse Henriette de Mortsauf, vertueuse épouse du comte de Mortsauf, homme sombre et violent. Félix de Vandenesse raconte son enfance malheureuse (dans un parcours très similaire à celui de Balzac) où il se sentit mal-aimé, voire haï, et sa rencontre avec une « céleste créature » qui devient pour lui une mère de substitution un peu comme madame de Berny, l’inspiratrice et amante d’Honoré de Balzac, laquelle ne s'est toutefois pas avérée aussi inaccessible, pure et intraitable que l'héroïne fictive. Pieuse parfois à l'excès, elle a pour confesseur l'excellent abbé François Birotteau, auquel on reproche son « manque de force apostolique[3] ». Après plusieurs années de relation chaste, Félix rencontre Lady Dudley à Paris, où ses activités auprès du roi lui ouvrent les salons. C'est une aristocrate anglaise qui lui fait découvrir les joies et les passions charnelles. Henriette vient à apprendre leur relation et se met à dépérir, jusqu’à en mourir. Dès lors, Félix quitte Lady Dudley, qui d'ailleurs le dédaigne : « Quant à notre intimité, à cette passion éternelle, à ces serments de mourir si je cessais de l'aimer, à cette fantasmagorie d'Armide, tout avait disparu comme un rêve. Je n'avais jamais serré sa main, j'étais un étranger, elle ne me connaissait pas. » Tout ce récit se présente sous la forme d'une seule lettre que Félix adresse à son amante du moment, la comtesse Natalie de Manerville. Celle-ci lui répond par une annonce de rupture, déclarant ne pas vouloir, ne pas pouvoir être constamment comparée à la douce et sage madame de Mortsauf, ni à la grande et fière Lady Dudley.

Mots clefs :

Langue : Français

1623/1687

Le Père Goriot
Localiser le document

R BAL

Le Père Goriot

Balzac, Honoré de

Publié en 1863 M. Lévy
311 p. ; in-16 °

Livre
Fiction
Roman

Livre

Le roman s'ouvre en 1819[3], avec la description sordide et répugnante du quartier du Val-de-Grâce et de la Maison-Vauquer[4],[5], une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève et appartenant à la veuve madame Vauquer[6]. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont : Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, ambitieux, à l'esprit sagace et d'origine modeste[7] ; un mystérieux personnage[8] au physique imposant[9] et aux manières un peu rustres et grossières[10], nommé Vautrin ; et un ancien vermicellier ayant fait fortune pendant la Révolution[11], maintenant retraité, complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot. À l'époque où ce dernier est arrivé à la pension, lorsqu'il était encore riche, la veuve Vauquer nourrissait le désir quelque peu intéressé de se marier avec lui[12]. Mais après une malheureuse affaire dont la veuve Vauquer a injustement rejeté la faute sur M. Goriot, celle-ci s'est mise à développer une certaine aversion pour lui et à entreprendre quelques mesquineries à son égard[13]. C'est elle, en particulier, qui lui a donné le surnom de "Père Goriot" en remplacement de "M. Goriot"[14]. Les médisances répétées de la veuve Vauquer à son sujet feront de lui le souffre-douleur de la pension[15]. Son caractère taciturne n'arrange pas les choses et laisse le champ libre aux allégations les plus fantaisistes, comme un supposé libertinage[16] ou une prétendue déficience mentale[17]. Logent également dans la pension d'autres personnes, comme mademoiselle Michonneau ou monsieur Poiret. Horace Bianchon fait partie des pensionnaires "externes" abonnés pour le dîner. Rastignac, le héros du roman, a le grand rêve de s'intégrer dans la haute société[18]. Il y fait ses premiers pas au bal d'une cousine, la vicomtesse de Beauséant[19]. C'est pendant cette soirée qu'il rencontre Anastasie de Restaud[20], qu'il ne sait pas encore être la fille aînée du Père Goriot. Plein d'espoir, il décide de rendre visite à Madame de Restaud[21], mais multiplie les maladresses qui lui fermeront la porte de la comtesse[22]. Il décide alors de partir chez sa cousine la vicomtesse de Beauséant, et de lui demander conseil. Celle-ci lui apprend que Madame de Restaud est une des filles du père Goriot[23]. Elle décide de le prendre sous son aile, lui explique qu'il lui faudra abandonner la morale pour parvenir à ses ambitions, et lui propose de se rapprocher de Delphine de Nucingen, une autre fille du père Goriot qui lui servira de tremplin pour intégrer la haute société[24]. Afin de séduire cette dernière, Eugène demande de l'argent à sa famille, certes déjà pauvre, mais dont il sait que son amour pour lui la poussera tout de même à se sacrifier[25]. Un peu plus tard, Vautrin lui fera la même leçon cynique que la vicomtesse de Beauséant[26], mais en proposant cette fois à Eugène d'épouser Victorine Taillefer[27] (aussi pensionnaire de la Maison-Vauquer). Victorine est la fille d'un riche banquier, mais celui-ci dédie toute sa fortune à son fils aîné, qui ne donne aucune rente à sa sœur. Vautrin suggère donc de s'en débarrasser en arrangeant un duel entre lui et un autre homme qui lui doit des faveurs[28]. Eugène est outré par cette proposition[29], refuse, et fait la résolution de ne plus compter que sur sa vertu et son travail pour parvenir à ses ambitions[30]. Mais cette résolution est vite oubliée[31], et les paroles de Vautrin se bousculent dans son esprit[32],[33]. Il rencontre Delphine de Nucingen au théâtre, et est persuadé, à tort, de lui avoir fait une somptueuse impression[34]. Un peu plus tard, les pensionnaires apprennent que Vautrin, ou Jacques Collin de son vrai nom, est en réalité un maître criminel surnommé Trompe-la-Mort. Vautrin s'arrange cependant pour que son ami tue le frère de Victorine ; mais il est capturé par la police. Le père Goriot éprouve un amour intense et presque maladif à l'égard de ses deux filles, pour lesquelles il a dépensé toute sa fortune dans l'intention de les rendre heureuses[35]. Mais en tant qu'ancien de la Révolution française, la présence du père Goriot, en cette période de Restauration de la monarchie, devenait gênante aux yeux de ses gendres. Ces derniers sont donc parvenus à pousser les filles du père Goriot à le renier, non sans la complicité de Goriot lui-même[36]. Il est furieux de la manière dont elles sont traitées par leurs maris[37]. Il est enthousiasmé par l'intérêt de Rastignac pour sa fille Delphine et achète même un appartement pour eux deux, afin de les rapprocher, espérant qu'ils s'entichent l'un de l'autre et se mettent en couple, ce qui lui permettra de voir sa fille plus souvent. Quand son autre fille, Anastasie de Restaud, l'informe qu'elle se trouve obligée de vendre la bijouterie familiale de son mari pour payer les dettes de son amant, le père Goriot est accablé de chagrin par sa propre impuissance et subit un accident vasculaire cérébral. Delphine ne vient pas voir son père sur son lit de mort, et Anastasie arrive trop tard. Avant de mourir, dans une crise de désespoir mêlée de lucidité et de rage, Goriot maudit ses filles ingrates tout en les recommandant à Rastignac et en finissant, dans son dernier soupir, par bénir les absentes qu'il n'a jamais cessé d'aimer. Seuls Rastignac et un domestique de la Maison-Vauquer nommé Christophe assistent aux funérailles. Les filles de Goriot, plutôt qu'être présentes à l'enterrement, envoient leurs voitures vides, chacune arborant les blasons respectifs de leur famille. Après la courte cérémonie, Rastignac se tourne face à Paris, alors que les lumières du soir commencent à apparaître, et dit majestueusement : « À nous deux maintenant ! » ; puis il s'en va dîner chez Delphine.

Mots clefs :

Langue : Français

1624/1687

La Peau de César
Localiser le document

R BAR

La Peau de César

Barjavel, René

Publié en 1987 Gallimard
242 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

La Peau de César est le seul roman policier de René Barjavel. Il est paru en 1985. Le roman comporte une dédicace destinée à Raymond Hermantier, dont le nom est cité dans le chapitre Premier soir.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-07-037857-8

1625/1687

La Faim du tigre
Localiser le document

R BAR

La Faim du tigre

Barjavel, René

Publié en 1976 Gallimard
214 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Le livre s'articule autour de trois idées principales qui viennent soutenir la thèse de l'auteur. Barjavel met en lumière la vanité et l'absurdité de la condition humaine et s'interroge sur la violence intrinsèque à toute vie. Il pointe l'incapacité de l'homme à appréhender et comprendre le monde dans lequel il est plongé au-delà des apparences et de ses sens par nature limités. Enfin, il part à la recherche des traces d'une vérité perdue sur le sens de la vie dont les religions révélées auraient été les dépositaires. Mais c'est toute une réflexion sur l'être humain, Dieu et la vie que nous propose Barjavel dans ce livre bouleversant. René Barjavel a déclaré : « Je donnerais tous mes livres pour celui-ci. » (autographe dans l'édition chez Denoël, 1982)

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-07-036847-5

1626/1687

Le Voyageur imprudent
Localiser le document

R BAR

Le Voyageur imprudent

Barjavel, René

Publié en 1973 Gallimard
244 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Noël Essaillon (physicien-chimiste), s'appuyant sur les travaux et la collaboration d'un jeune mathématicien (Pierre Saint-Menoux), invente une substance (la noëlite 3) permettant de voyager dans le temps. D'abord développée sous forme de gélules à ingérer, il en enduit ensuite un scaphandre beaucoup mieux étudié pour les voyages dans le temps. Saint-Menoux explore tout d'abord le futur proche puis, s'enhardissant, un futur très lointain où il découvre une humanité ayant évolué vers la spécialisation exclusive des tâches. Mais les voyages dans le temps ne sont pas dénués de danger, et Saint-Menoux devra apprendre à ses dépens que toute action entraîne des conséquences.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-07-036485-2

1627/1687

Le maître et Marguerite : roman
Localiser le document

R BOU

Le maître et Marguerite : roman

Boulgakov, Mikhaïl / Ermolinskij, Sergej Aleksandrovič / Ligny, Claude

Publié en 2011 R. Laffont
1 vol. (643 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Pour retrouver l'homme qu'elle aime, un écrivain maudit, Marguerite accepte de livrer son âme au diable. Version contemporaine du mythe de Faust, transposé à Moscou dans les années 1930, Le Maître et Marguerite est aussi une des histoires d'amour les plus émouvantes jamais écrites. Mikhaïl Boulgakov a travaillé à son roman durant douze ans, en pleine dictature stalinienne, conscient qu'il n'aurait aucune chance de le voir paraître de son vivant. Écrit pour la liberté des artistes et contre le conformisme, cet objet d'admiration universelle fut publié un quart de siècle après la mort de celui qui est aujourd'hui considéré comme l'égal de Dostoïevski, de Gogol et de Tchekhov réunis.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-221-11686-9

EAN : 9782221116869

1628/1687

La planète des singes
Localiser le document

R BOU

La planète des singes

Boulle, Pierre

Publié en 2011 Pocket
1 vol. (189 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Y a-t-il des êtres humains ailleurs que dans notre galaxie ? C'est la question que se pose Ulysse Mérou, lorsque, de leur vaisseau spatial, ils observent le paysage d'une planète proche de Bételgeuse : on y aperçoit des villes, des routes curieusement semblables à celle de notre terre. Après s'y être posés, les trois hommes découvrent que la planète est habitée par des singes. Ceux-ci s'emparent d'Ulysse Mérou et se livrent sur lui à des expériences. Il faudra que le journaliste fasse, devant les singes, la preuve de son humanité...

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-266-28302-1

EAN : 9782266283021

1629/1687

Le K
Localiser le document

R BUZ

Le K

Buzzati, Dino / Remillet, Jacqueline Livi, François

Publié en 1994 Pocket
440 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

L'histoire du "K", qui donne son titre au recueil, contient tous les thèmes familiers à Dino Buzzati, l'auteur du "Désert des Tartares", et définit parfaitement un art où le merveilleux et l'humour se mêlent à l'observation lucide avec une maîtrise que confirment les cinquante autres récits suivants. Une sensibilité exacerbée, un sens aigu de la justice, un certain pessimisme aussi donnent une résonnance poignante au "Compte", à la "Petite Circé", à "L'Ascenseur", au "Veston ensorcelé", par exemple. Le fantastique de Buzzati est étroitement accordé à l'air de notre temps et aux préoccupations du jour : la guerre mondiale, la dictature, le mal de la jeunesse et la solitude, comme en témoignent "Chasseurs de vieux", "La Leçon de 1980" ou "Suicide au parc" et "L'Arme secrète". Journaliste, Dino Buzzati avait le sens de la formule, la capacité d'écrire court, un don pour la chute... Satiriste, il faisait son miel des faits divers, qui lui inspiraient des contes cruels, mêlant réalisme, anticipation à court terme et insolite... Son fantastique, métaphore des travers humains, nous offre une image dérisoire du pouvoir, de l'argent, des honneurs... Buzzati dépeint fréquemment des hommes qui, trop tard, découvrent qu'ils sont passés à côté de l'essentiel, tel le personnage de Et si ?, qui s'aperçoit qu'il a négligé l'amour. Dans "Le K", le récit qui donne son nom au recueil, un jeune garçon renonce à devenir marin de peur que le K, un monstre qui le pourchasse, ne le dévore. Il lui faudra attendre une ultime confrontation pour réaliser qu'il lui offrait fortune, puissance et bonheur ! En quelques dizaines de nouvelles, souvent féroces, Buzzati brosse un tableau douloureux de la condition humaine, heureusement tempéré par une distance et un humour qui en font un écrivain attachant. [Stéphane Nicot]

Mots clefs :

  • Nouvelle (Littérature / Genre littéraire)

Langue : Français

1630/1687

La peste
Localiser le document

R CAM

La peste

Camus, Albert / Rouxel-Hubac, Marianne

Publié en 2012 Belin
1 vol. (351 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Imaginez une ville, Oran, où les rats sont plus futés que les habitants. Ils meurent en masse, mais personne ne s'inquiète vraiment, jusqu'à ce que les humains commencent à tomber comme des mouches. Voilà, c'est la peste, et elle est là pour vous rappeler que la vie est absurde, mais aussi pour vous faire réfléchir à votre condition humaine. Le Docteur Rieux le héros du roman, qui lutte contre la peste tout en étant un peu déprimé parce que sa femme est partie se faire soigner ailleurs. Il incarne le combat contre l'injustice et montre que même dans les moments les plus sombres, il faut continuer à se battre. Cottard le type qui profite de la situation pour faire des affaires louches. Il est comme ces gens qui vous vendent des masques à 50 euros pendant une pandémie. Tarrou celui qui décide de s'engager dans la lutte contre la peste après avoir réalisé que la vie est courte et que l'on doit faire quelque chose de bien. La vie est absurde, mais on doit continuer à vivre et à se battre. C'est un peu comme jouer à un jeu vidéo où le boss est invincible, mais vous continuez à essayer de le vaincre. Les gens se rassemblent pour lutter contre la peste, montrant que même dans les moments difficiles, il y a de l'espoir. Camus vous rappelle que la vie est belle, même si elle est courte et cruelle. Alors, profitez-en et faites quelque chose de bien.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-7011-6166-2

EAN : 9782701161662

1631/1687

Testament à l'anglaise
Localiser le document

R COE

Testament à l'anglaise

Coe, Jonathan / Pavans, Jean

Publié en 2008 Gallimard
1 vol. (682 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Tabitha Winshaw a 81 ans et elle est folle. Démence sénile ? Pas du tout. Elle a perdu l'esprit un soir de l'hiver 1942 quand son frère préféré, Godfrey, a été abattu par la DCA allemande au-dessus de Berlin. Le chagrin alors ? Ce n'est pas cela non plus. Elle est persuadée que la mort de Godfrey a été commanditée par son frère aîné, Lawrence, qu'elle déteste. Une folle dans la famille, l'aristocratie britannique en a vu d'autres. Mais voilà que Tabitha se mêle de commander à Michael Owen, un jeune homme dépressif, une histoire de la dynastie des Winshaw qui occupe tous les postes-clés dans l'Angleterre des années quatre-vingt. Il y a du jeu de massacre dans l'air d'autant que Tabitha n'est peut-être pas aussi folle qu'il y paraît. Cette cinglante satire de l'establishment, passionnante comme un polar et teintée d'un humour très british, quatrième roman d'un critique littéraire né en 1961, a valu à Jonathan Coe une renommée internationale et a obtenu en France le prix Femina étranger en 1995.--Gérard Meudal--

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-07035968-4

EAN : 9782070403264

1632/1687

L'alchimiste
Localiser le document

R COE

L'alchimiste

Coelho, Paulo / Orecchioni, Jean

Publié en 2007 J'ai lu
1 vol. (190 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu'il rencontre l'Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par dessus tout, à aller au bout de son rêve. Merveilleux conte philosophique destiné à l'enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-290-00444-9

EAN : 9782290004449