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Emmanuel Bourdier
Publié en 2024
Flammarion Jeunesse
Livre
Fiction
Roman
Enfant du voyage, Geronimo arrive dans sa nouvelle classe, dans une école inconnue. Il a l'habitude de ces changements incessants et de subir les préjugés contre les gens du voyage. Un de ses professeurs permet aux deux cultures de se rencontrer et à l'amitié de se forger au-delà des différences.
Mots clefs :
Langue : Français
ISBN : 978-2-0802-3362-2
Publié le 13-06-2024
Milan
Collection 724
Périodique
Documentaire
Roi du camouflage / Les méduses / Le spinosaure / Journal de l'actu / + activiter
Mots clefs :
Langue : Français
Pommaux, Yvan
Publié en 2024
Neuf Poche
Livre
Fiction
Album
La guerre, avec ses horreurs et ses drames, mais aussi avec ses actesde bravoure, a toujours inspiré les artistes. Celleque livrèrent les anciens Grecs contre les Troyens est le sujet de l'Iliade, poème épique qui date du VIIIe siècle avant notre ère.
Elle éclate pour desmotifs futiles,se poursuit interminablement et fait couler des flogs de sang...
Mots clefs :
Langue : Français
ISBN : 978-2-211-30041-4
Pommaux, Yvan
Publié en 2024
Neuf Poche
Livre
Fiction
Album
Le modèle du héros prudent, c'est Ulysse, le combattant aux mille ruses, dont Homère nous acomté les exploits datant de la guerre de Troie, et qu'Yvan Pommaux ressuscite en images.
La puissance du récit est telleque nous suivons avec passion les aventures du roi d'Ithaque regagnant son île après la victoire des Grecs sur les Troyens.
Nous le voyons srmonter l'un apès l'autre les multiples obstacles qui sedressent sur sa routeau cours desdix longues années que dureson voyage...
Mots clefs :
Langue : Français
ISBN : 978-2-211-30039-1
Jean Giono
Publié en 2024
Gallimard
Livre
Fiction
Album
Le narrateur, personnage anonyme, fait une randonnée dans une contrée située entre les Alpes et la Provence, « délimitée au sud-est et au sud par le cours moyen de la Durance, entre Sisteron et Mirabeau ; au nord par le cours supérieur de la Drôme, de sa source jusqu'à Die ; à l'ouest par les plaines du Comtat Venaissin et les contreforts du Mont-Ventoux »A 1, région désertique où plus rien ne pousse excepté la lavande. Il campe alors auprès d'un « squelette de village abandonné »A 1, au milieu d'une « désolation » sans pareille, où pourtant la vie a jadis existé. Après une nuit de repos, il reprend son chemin mais manque bientôt d'eau. Il fait par chance la rencontre d'un berger silencieux nommé Elzéard Bouffier, qu'il prend, au début, pour « le tronc d'un arbre solitaire »A 2. Celui-ci lui propose de passer la nuit chez lui. Le narrateur est impressionné par la bonne tenue de la demeure, bien construite en pierre, au toit en bon état, bien différente de l'abri précaire dont bien des bergers se contentent. Son estime à l'égard du berger augmente encore lorsqu'il constate la propreté du logis, le soin mis à entretenir, nettoyer, repriser... mais surtout combien calme et sereine est la vie de cet homme qui vit seul en compagnie de son chien et de son troupeau de moutons.
Alors que la nuit s'avance, le narrateur observe le berger occupé à examiner, classer, nettoyer puis sélectionner, « un tas de glands »A 3. Il en choisit finalement cent, qu'il met de côté, puis va se coucher. Le lendemain, le narrateur, intrigué, demande au berger s'il lui est possible de demeurer chez lui une journée de plus. Le berger accepte puis prend la route avec son troupeau et son sac de glands. Le narrateur décide de suivre un chemin parallèle à celui du berger afin d'observer ce qu'il compte faire de ses glands. Ce dernier s'arrête enfin sur une petite clairière désertique et, à l'aide d'une « tringle de fer », fait un trou dans lequel il met un gland, puis rebouche le trou. Le narrateur comprend qu'Elzéard Bouffier plante des chênes et, ce jour-là, il en plante cent, « avec un soin extrême ». Engageant de nouveau la conversation, le narrateur apprend qu'Elzéard plante depuis trois ans des arbres : « Il en avait planté cent mille. Sur les cent mille, vingt mille était sortis. Sur ces vingt mille, il pensait encore en perdre la moitié, du fait des rongeurs ou de tout ce qu'il y a d'impossible à prévoir dans les desseins de la Providence. Restaient dix mille chênes qui allaient pousser dans cet endroit où il n'y avait rien auparavant »A 4.
La passion de cet homme consiste donc à planter des arbres, dans une parfaite solitudevariantes 1. Le narrateur ne parvient cependant pas à lui donner un âge. Le berger entreprend de planter d'autres essences, parmi lesquelles des bouleaux, des hêtres et des frênes. Il entend métamorphoser la région en plantant des milliers d'hectares de surface sylvicole. Le lendemain, le narrateur quitte la compagnie du berger et l'année suivante il est appelé sur le front de la Première Guerre mondiale. Pendant quatre années passées dans les tranchées, il oublie Elzéard Bouffier et son incroyable passion. Mais, lorsqu'il décide de faire à nouveau une randonnée dans la région, le souvenir du berger silencieux lui revient.
Il retrouve le planteur, qui a changé de métier et qui est maintenant apiculteur (ses moutons étant en effet une trop grande menace pour ses plantations). Celui-ci lui fait visiter sa nouvelle forêt dont les chênes datent de 1910. La création d'Elzéard fait alors « onze kilomètres de long et trois kilomètres dans sa plus grande largeur »A 5 et impressionne le narrateur qui a le sentiment d'avoir sous ses yeux une œuvre de création divine : « Quand on se souvenait que tout était sorti des mains et de l'âme de cet homme – sans moyens techniques – on comprenait que les hommes pourraient être aussi efficaces que Dieu dans d'autres domaines que la destruction »A 5. Le milieu a littéralement changé et, même, la reproduction des arbres se fait dorénavant toute seule, le vent aidant à disperser les graines. La transformation de la contrée s'opère si lentement que personne ne s'en aperçoit.
Dès 1920, le narrateur rend régulièrement visite au berger solitaire, il constate ainsi la propagation des arbres, en dépit de quelques infortunes. Elzéard plante même d'autres essences, comme des érables. En 1933, le berger reçoit la visite d'un garde forestier, ce qui témoigne de l'importance de la forêt ainsi constituée au fil des années. Pour accélérer son projet, Elzéard Bouffier décide de fabriquer une maison afin de vivre au milieu des arbres. En 1935, le narrateur rend visite au berger en compagnie d'un ami garde forestier, à qui il dévoile le mystère de cette « forêt naturelle ». Ce dernier jure de conserver le secret et voit en Elzéard Bouffier un homme qui a trouvé par cette activité « un fameux moyen d'être heureux »A 6.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est décidé de commercialiser le bois de la forêt, pour produire le charbon de bois qui alimentera les voitures à gazogène. Le projet avorte toutefois car la région est trop éloignée de tout circuit logistique. Le narrateur revoit une dernière fois le berger, en juin 1945. Ce dernier a alors 87 ansvariantes 2 et il continue sa tâche de reforestation. Autour de lui, la région est revenue à la vie, notamment le village de Vergons où les habitants sont désormais plus nombreux, et surtout prospères et heureux. Ainsi, « plus de dix mille personnes doivent leur bonheur à Elzéard Bouffier »A 7. Le narrateur a une dernière pensée pour le berger, sa générosité et son abnégation, qui font de sa réalisation « une œuvre de Dieu ». Enfin, « Elzéard Bouffier est mort paisiblement en 1947 à l'hospice de Banon »A
Mots clefs :
Langue : Français
ISBN : 9782711880515
4998/5015
A INC
Publié le 01-07-2024
Milan
Collection 434
Périodique
Fiction
Album
Le cercle des mauviettes disparues
Mots clefs :
Langue : Français
4999/5015
A INC
Publié le 01-07-2024
Milan
Collection 434
Périodique
Fiction
Album
Le cercle des mauviettes disparues
Mots clefs :
Langue : Français
5000/5015
A INC
Publié le 01-07-2024
Milan
Collection 434
Périodique
Fiction
Album
Le cercle des mauviettes disparues
Mots clefs :
Langue : Français