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JDI 1613

Petit, Serge

Publié le 01-12-2007
Collection 1613 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Au sommaire : Intro - Entretien - Reportage - Analyse - Pratiques de la classe

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1614

Petit, Serge

Publié le 01-01-2008
Collection 1614 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Au sommaire : Intro - Entretien - Reportage - Analyse - Pratiques de la classe

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1615

Méténier, Gisèle

Publié le 01-02-2008
Collection 1615 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Au sommaire : Intro - Entretien - Reportage - Analyse - Pratiques de la classe

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1616

Méténier, Gisèle

Publié le 01-03-2008
Collection 1616 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Comme le souligne Alain Rey (p. 13), l’enfant commence par faire l’expérience vivante de la langue, dans le contexte de pratique du langage parlé autour de lui. Ainsi, selon les apports langagiers reçus de leur entourage, les élèves peuvent avoir des bagages lexicaux très différents lors de leur entrée à l’école maternelle. Mais rien n’est joué, puis qu’entre 3 et 6 ans, l’enfant développe et diversifie son vocabulaire, tout en accroissant sa curiosité vis-à-vis de la langue. L’école élémentaire se doit de connaître ces étapes précédant l’entrée au CP, car elles constituent le ferment des apprentissages langagiers ultérieurs.

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1617 - Suppl.

Petit, Serge

Publié le 01-04-2008
Collection 1617 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Au sommaire : Intro - Entretien - Reportage - Analyse - Pratiques de la classe

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1617

Petit, Serge

Publié le 01-04-2008
Collection 1617 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Comme le souligne Alain Rey (p. 13), l’enfant commence par faire l’expérience vivante de la langue, dans le contexte de pratique du langage parlé autour de lui. Ainsi, selon les apports langagiers reçus de leur entourage, les élèves peuvent avoir des bagages lexicaux très différents lors de leur entrée à l’école maternelle. Mais rien n’est joué, puis qu’entre 3 et 6 ans, l’enfant développe et diversifie son vocabulaire, tout en accroissant sa curiosité vis-à-vis de la langue. L’école élémentaire se doit de connaître ces étapes précédant l’entrée au CP, car elles constituent le ferment des apprentissages langagiers ultérieurs. Aux cycles 2 et 3, ces apprentissages continuent de s’effectuer “en situation”, mais aussi en relation directe avec les champs disciplinaires. Toutefois, si les activités métalinguistiques se révèlent d’une grande importance dès la section des grands et ont tout lieu de se poursuivre au CP, à partir du CE1 (et a fortiori au cycle 3) des séquences de vocabulaire structurées, reposant sur des contenus précis, doivent être programmées. Comme le préconise Françoise Picot (p. 14), elles sont destinées à aider les élèves à appréhender les relations sémantiques et morphologiques que les mots tissent entre eux. Cependant, seul le va-et-vient entre situations authentiques et activités de mise à distance de la langue peut donner tout son sens aux apprentissages. Nous espérons que les deux projets “Vocabulaire” de notre cahier central (cycle 2, p. I-V et cycle 3, p. XV-XIX), ainsi que le reportage réalisé dans une classe

ms (p. 16), vous offriront des pistes utiles pour allier activités de structuration et activités de réinvestissement.Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1618

Petit, Serge

Publié le 01-05-2008
Collection 1618 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Que connaissent les enfants de leur corps, comment vivent-ils les transformations physiologiques qu’ils observent sur leur silhouette, de l’école maternelle jusqu’à leur entrée au collège ? Ont-ils instinctivement le sentiment d’avoir à éviter certaines questions, vivent-ils encore à travers les tabous ancestraux, la crainte, voire la terreur, de faire du mal ou, au contraire, sont-ils à l’aise pour en parler et comparer leur corps ? La vie à l’école est un parcours jalonné d’interrogations, d’émotions, de sentiments nouveaux que les enseignants se doivent de prendre en compte, car c’est la période des premières histoires d’amitié et d’amour, également celle des premières brouilles, qui peuvent “faire mal” et affecter plus qu’on ne le croit. Par ailleurs, la connaissance que les enfants ont de leur corps est toujours source d’intérêt pour eux ; ils adorent manipuler les planches représentant les différentes fonctions humaines, la digestion, la respiration, la circulation avec ses vaisseaux rouges et bleus… et la reproduction ! Les pages des encyclopédies et des dictionnaires sur lesquelles s’arrêtent le plus souvent les élèves sont celles qui représentent des corps nus. Comment donc aborder ces questions à l’école avec eux, comment évoquer les mystères de l’amour et le charme discret des différences, que leur enseigner sur la sexualité et sur le corps humain ? Quelles informations objectives, sans être trop techniques, faut-il privilégier et jusqu’où les approfondir ?

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1619

Picot, Françoise

Publié le 01-06-2008
Collection 1619 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

La carte scolaire était, lors de sa création, un outil de gestion des élèves et des moyens d’enseignement. Ce n’est que plus tard qu’on lui a assigné un objectif de mixité sociale. Or, celui-ci n’a pu être atteint. Force est de constater que d’un établissement à un autre, dans le premier ou le second degré, la population n’est pas homogène, et que des écarts de niveau existent. Échec dû, comme nous l’explique le sociologue Marco Oberti (p. 20), à la ségrégation résidentielle, aux pratiques sélectives de certaines classes de la société et à la présence de l’école privée. Que faire face à cette mixité de moins en moins réelle et à cette inégalité engendrée par la carte scolaire à dérogations ? Renforcer la carte scolaire ? La réformer ? C’est la suppression que le gouvernement a choisie, dès le collège : libre choix des familles et, parallèlement, plus d’autonomie aux établissements. Position libérale qui fait de l’éducation un marché scolaire où se rencontrent une offre de formation et une demande d’éducation. Face à ce projet, Philippe Meirieu nous met en garde (p. 15) sur les dangers que représentent des établissements “se comportant comme des entreprises”. La suppression ira-t-elle dans le sens d’une meilleure mixité ? Claude Bisson-Vaivre affirme que, bien conduite, elle contribuera à plus de mixité scolaire (p. 12), tandis que Laurent Ott craint que la mesure de suppression annihile tout projet éducatif basé sur la diversité des publics accueillis (p. 14). Ce qui se vérifie si l’on regarde ce qui se passe dans les pays qui, comme la Belgique, n’ont

carte scolaire (p. 16). Vous qui enseignez en école primaire, ne vous croyez pas à l’abri de la désectorisation.Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1620

Minassian, Marie-José

Publié le 01-09-2008
Collection 1620 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

“La violence paraît tellement plus rapide que la pensée”, écrivait le psychanalyste W. R. Bion en 1974. Le philosophe le sait bien, que hantent l’opposition chaos/logos et la fascination qu’exerce cette violence hors discours, hors pensée, comme un appel de l’absolu par-delà le logos. On connaît les multiples qualificatifs de la violence : elle peut être déguisée, habituelle, solennelle, légitime, sacralisée, intériorisée, sociale, politique, économique ; ses raisons et ses manifestations se déploient diversement, mais toujours en introduisant le désordre de son mouvement dans un lieu organisé (ordonné). Là, le violent sent qu’il n’a pas sa place : ou bien lui manquent les mots qui lui permettraient de la prendre, ou bien ses blessures (par absence d’attention à ses besoins) sont telles que sa colère et son désespoir lui barrent l’accès à l’autre. En introduisant la règle, mais surtout la pensée, cet autre lieu, la classe, travaille à maintenir à distance le retour au régressif toujours possible de l’enfant, auquel la société d’aujourd’hui renvoie des modèles de satisfaction immédiate. L’école, l’ensemble des processus éducatifs, travaillent à lui apporter des outils, afin que la force qui l’anime (l’énergie pulsionnelle) soit mise au service de la vie, de l’accomplissement de soi, de la création, et non de l’agressivité tournée vers l’extérieur ou vers soi. Soucieux à l’extrême de la performance, aurait-on oublié la dimension protectrice de l’acte d’éducation ?Marie-José Minassian, philosophe, journaliste

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1621

Minassian, Marie-José

Publié le 01-10-2008
Collection 1621 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Les projets de programmes de 2008 proposés à consultation ont été dénoncés par plusieurs spécialistes de l’enseignement. Même des professeurs des écoles se sont mis en grève ; non pas pour des questions salariales ou liées à leur carrière, mais pour la défense d’une certaine qualité de l’enseignement, pour des programmes de qualité. Devant cette forte opposition, le ministère de l’Éducation nationale a fait marche arrière sur certains points importants. Pourtant, un mécontentement certain demeure. Quels sont les enjeux politiques et pédagogiques de ces nouveaux programmes ? Les programmes de l’école de la République ayant des finalités politiques, ce dossier donnera donc dans un premier temps la parole au politique puis, constatant que le bouleversement le plus important concerne l’enseignement du français et de la langue française, il s’interrogera sur la manière dont cette discipline peut encore être enseignée. Le reportage montrera enfin comment, dans le respect le plus absolu des programmes, des dispositifs d’enseignement à l’opposé du point de vue pédagogique peuvent être mis en oeuvre.Serge Petit,professeur de mathématiques, formateur

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

Langue : Français

JDI 1622 - Suppl.

Minassian, Marie-José

Publié le 01-11-2008
Collection 1622 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

• Gaulle, charles de : 1890-1970
• Histoire

Langue : Français

JDI 1622

Minassian, Marie-José

Publié le 01-11-2008
Collection 1622 15-21 : 80 p. : couv. ill. coul. ; ill. coul. ; 29 x 21 cm

Périodique
Autre

À l'école, on enseigne l'histoire, on ne la fait pas, on utilise le travail de l'historien. C'est lui qui construit l'histoire. À travers son expérience, Florence Hachez-Leroy, jeune historienne, explique : l'historien est un chercheur, il interroge des témoignages du passé, établit une chronologie, compare, critique, valide. Cependant, l'histoire ainsi construite n'est pas une vérité absolue, affirme Gracia Dorel-Ferré : les questions de l'historien qui dépendent des préoccupations du présent, les nouvelles sources, les nouvelles techniques engendrent des problématiques différentes de celles des générations précédentes et remettent en cause les savoirs établis.

Niveau : Enseignant

Mots clefs :

• Histoire

Langue : Français