1904 documents

Filtrer la recherche

Support

Revues, magazines Revues, magazines Multimédia

Nature

Fictions Fictions

Résultats de recherche

Résultats : 1769 à 1776 sur un total de 1904

1769/1904

Journal de Ninon Battandier
Localiser le document

R TRO

Journal de Ninon Battandier

Trotereau, Anne

Publié en 1992 L'école des loisirs
103 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Journal d'une écolière des années 50

Ninon Batandier a dix ans. Son journal commence le 5 octobre 1955: elle est nouvelle au village et à l'école de Roncé-sur-Braye.

Il faut qu'elle s'habitue, qu'elle se fasse des copines. Elle voudrait avoir les cheveux dans le dos comme Suzie Mesmin, mais sa mère ne veut pas.

Elle aime bien la patience de Thérèse Cheneau, qui récite ses leçons d'un seul élan ou pas du tout.

Elle est timide avec Annie Bordère et Paulette Moreno. Il y a des disputes et des bagarres, et un grand concours de propreté organisé par les Savonnettes...

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-211-04010-1

EAN : 9782211040105

1770/1904

Viou
Localiser le document

R TRO

Viou

Troyat, Henri

Publié en 1980 Castor Poche-flammarion
211 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Viou, de son vrai nom Sylvie Lesoyeux, est une enfant vivant chez ses grands-parents paternels au Puy-en-Velay. Elle a peu connu son père, mort à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et ne voit que rarement sa mère, Juliette, partie vivre à Paris pour y travailler.
Sylvie a une relation très distante avec sa grand-mère, fervente catholique, qui ne lui donne qu’un amour froid. Le grand-père de Viou meurt d’une angine de poitrine puis son chien Toby est vendu

"Sylvie eut l'impression qu'elle allait, d'un coup de jarret, s'élever à quelques mètres au-dessus du sol. De toute la classe, c'était elle qui courait le plus vite. Cependant, nul dans la famille ne semblait prendre garde à ce talent exceptionnel. Inexplicablement, les grandes personnes, quand elles s'occupaient des enfants, n'accordaient d'importance qu'à leurs études." Dans l'immédiat après-guerre, Viou est confiée à ses grands-parents paternels. Sa mère est partie pour Paris où elle tente de reconstruire sa vie, une séparation plus difficile encore à supporter pour Viou que la mort de son père.
Un roman d'apprentissage qui dit, avec justesse et émotion, les inquiétudes, les espérances et les peines d'une enfant qui découvre le monde des adultes.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-08-064266-9

1771/1904

Lancelot ou Le chevalier de la Charrette
Localiser le document

R TRO

Lancelot ou Le chevalier de la Charrette

TROYES Chretien de

Publié en 2008 Gallimard
1 vol. (212 p.)

Livre
Fiction
Roman

Livre

Dans ce roman, la reine Guenièvre, dame aimée de Lancelot, et femme du roi Arthur souverain du royaume de Logres, est enlevée et tenue prisonnière par Méléagant.

Lancelot part la délivrer, mais pour réussir dans cette quête, il doit accomplir des prouesses et consentir à des sacrifices, qui sont autant d'épreuves dans son parcours initiatique. Les épreuves les plus importantes du poème sont celles à caractère sacrificiel : l'une d'elles donne le nom du roman Le Chevalier de la charrette, car Lancelot se résout à monter dans une charrette de condamné conduite par un bouvier, signe d'opprobre à l'époque médiévale6, dans le but de sauver sa dame : il perd son honneur et devient un paria selon le code de la chevalerie. Mais ce code courtois exige de lui un sacrifice, pour sa dame. Lancelot finit donc par monter dans la charrette, après une hésitation « de deux pas », révélant son caractère faillible. La deuxième épreuve à caractère sacrificiel est la traversée du Pont de l'Épée, qui lui permettra d'aller dans le royaume de Bademagus (père de Méléagant) pour sauver la reine Guenièvre.

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 978-2-07-035768-0

EAN : 9782070357680

1772/1904

Opération diam's
Localiser le document

R TUL

Opération diam's

Tully, John

Publié en 1995 Bayard éd
75 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Quel choc pour Johnny, qui rentre chez lui ce soir-là, le long des quais brumeux de Londres : un garçon de son âge le braque avec un revolver, un vrai !

Mais le choc est encore plus grand quand Johnny découvre que ce garçon est le fils d'un milliardaire fuyant son luxueux domicile pour échapper à sa redoutable belle-mère, Linda, dite la Poison.

Entre le jeune héritier et le garnement des bas quartiers naît une amitié à toute épreuve... Vincent sera-t-il vengé de la diabolique Poison ?

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-227-72333-5

EAN : 9782227723337

1773/1904

L'appel de la louve
Localiser le document

R TUP

L'appel de la louve

Tupet, Jean-Jacques

Publié en 1991 Bayard éd
86 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Igor est le jeune chien fougueux du vieux berger Alexis. Un jour, au hasard des alpages, Igor rencontre une louve solitaire qui l'attire et le fascine. C'est Gleipnir.

Courses folles à travers les forêts, chasses sauvages, chahuts dans la neige : Igor voudrait devenir loup pour suivre Gleipnir dans toutes ses aventures.

Mais la vie des loups est dure. Igor cédera-t-il à l'appel de la liberté... ou retournera-t-il à la tranquillité de sa vie de chien de berger ?

Mots clefs :

Langue : Français

ISBN : 2-227-72309-2

EAN : 9782227723092

1774/1904

Comment j'ai tué un ours
Localiser le document

R TWA

Comment j'ai tué un ours

Twain, Mark

Publié en 1979 Gallimard
[27] p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

On a raconté tant d’histoires invraisemblables sur ma chasse à l’ours de l’été dernier, à Adirondack, qu’en bonne justice je dois au public, à moi-même et aussi à l’ours, de relater les faits qui s’y rattachent avec la plus parfaite véracité. Et d’ailleurs il m’est arrivé si rarement de tuer un ours, que le lecteur m’excusera de m’étendre trop longuement peut-être sur cet exploit.

Notre rencontre fut inattendue de part et d’autre. Je ne chassais pas l’ours, et je n’ai aucune raison de supposer que l’ours me cherchait. La vérité est que nous cueillions des mûres, chacun de notre côté, et que nous nous rencontrâmes par hasard, ce qui arrive souvent. Les voyageurs qui passent à Adirondack ont souvent exprimé le désir de rencontrer un ours ; c’est-à-dire que tous voudraient en apercevoir un, de loin, dans la forêt ; ils se demandent d’ailleurs ce qu’ils feraient en présence d’un animal de cette espèce. Mais l’ours est rare et timide et ne se montre pas souvent.

Mots clefs :

Langue : Français

1775/1904

Histoire du petit Stephen Girard
Localiser le document

R TWA

Histoire du petit Stephen Girard

Twain, Mark

Publié en 1978 Gallimard
[18] p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Il existe à Philadelphie un homme qui — alors qu’il n’était qu’un jeune et pauvre petit garçon — entra dans une banque et dit :

— S’il vous plaît, monsieur, vous n’auriez pas besoin d’un petit garçon ?

— Non, petit garçon, répondit le majestueux banquier, je n’ai pas besoin d’un petit garçon.

Le cœur bien gros, des larmes sur les joues, des sanglots plein la gorge, le petit garçon descendit l’escalier de marbre de la banque, tout en suçant un sucre d’orge qu’il avait acheté avec un sou volé à sa bonne et pieuse tante.

Dissimulant sa noble forme, le banquier se cacha derrière une porte, persuadé que le petit garçon allait lui jeter une pierre.

Le petit garçon, en effet, avait ramassé quelque chose par terre : c’était une épingle qu’il attacha à sa pauvre mais fripée veste.

— Venez ici ! cria le banquier au petit garçon.

Le petit garçon vint ici.

— Qu’avez-vous ramassé ? demanda le majestueux banquier.

— Une épingle, répondit le petit garçon.

Le financier continua :

— Êtes-vous sage, petit garçon ?

Le petit garçon dit qu’il était sage.

— Comment votez-vous ?… Oh ! pardon, allez-vous à l’école du dimanche ?

Le petit garçon dit qu’il y allait.

Alors, le banquier trempa une plume d’or dans la plus pure des encres, écrivit sur un bout de papier St. Peter et demanda au petit garçon ce que cela faisait.

Le petit garçon répondit que cela faisait Salt Peter.

— Non, fit le banquier, cela fait Saint-Peter.

Le petit garçon fit : Oh !

Le banquier prit le petit garçon en affection, et le petit garçon fit encore : Oh !

Alors, le banquier associa le petit garçon à sa maison, lui donna la moitié des bénéfices et tout le capital.

Et, plus tard, le petit garçon épousa la fille du banquier.

Tout ce que possédait le banquier, ce fut le petit garçon qui l’eut.

II

Mon oncle m’ayant raconté l’histoire ci-dessus, je passai six semaines à ramasser des épingles par terre, devant une banque.

J’attendais toujours que le banquier m’appelât pour me dire :

— Petit garçon, êtes-vous sage ?

Je lui aurais répondu que j’étais sage.

Il aurait écrit St John, et je lui aurais dit que cela voulait dire Salt John.

Il faut croire que le banquier n’était pas pressé d’avoir un associé ou que sa fille était un garçon, car un jour il me cria :

— Petit garçon, que ramassez-vous là ?

— Des épingles, répondis-je poliment.

— Montrez-les moi.

Il les prit, et moi, je mis mon chapeau à la main, tout prêt à devenir son associé et à épouser sa fille.

Mais ce n’est pas à cela qu’il m’invita :

— Ces épingles, rugit-il, appartiennent à la banque ; et si je vous retrouve encore rôdant par ici, je fais lâcher le chien sur vous.

Je partis, laissant ce vieux bougre en possession de mes épingles.

Dire, pourtant, que c’est comme ça dans la vie!

Mots clefs :

Langue : Français

1776/1904

La Célèbre grenouille sauteuse : et autres contes
Localiser le document

R TWA

La Célèbre grenouille sauteuse : et autres contes

Twain, Mark

Publié en 1978 Gallimard
116 p.

Livre
Fiction
Roman

Livre

Vous n'avez jamais vu une grenouille aussi modeste et aussi franche, dressée comme elle l'était.

Et quand il s'agissait de sauter à tout moment et tout simplement sur un terrain plat, elle franchissait plus d'espace en un saut qu'aucune bête de son espèce.

Le saut en longueur était son triomphe.

Mots clefs :

Langue : Français